ATTENTION - Page en cours de mise à jour Ancêtres Peter de deux lignées distinctes de Täufer, bannis de Suisse Les recherches généalogiques sur les ascendants Peter de la paroisse protestante réformée de Gontenschwil n'ont été possibles que récemment par l'accès et la mise en ligne des registres de cette paroisse par les Staatsarchiv Aargau. Néanmoins, ces registres ne sont pas filiatifs pour les actes de mariages et de décès et en plus, il y a des lacunes sur plusieurs décennies [1]. Aussi, avons-nous été limité l'ascendance aux ancêtres qui sont Jacob Peter, dit maihuser, et son Anna Galliker [2]. Et pourtant plusieurs généalogies mennonites mentionnent des ascendances ou des mémoires familiales erronées ou non sourcées. En 1655, Steiner (2000) a dénombré 19 familles différentes de Peter à Gobtenschwil.
Début du XVIIIe siècle, plusieurs couples de Wiedertäufer (anabaptistes) ont été déchus de leurs Land- et Bürgerrechte (droits territoriaux et droits de cité) et condamnés à l'exil définitif : parmi eux, quatres étaient des Peter (Fig. 3) et les parents et leur descendance mentionnés ci-dessous. Ils ont fait l'objet de recherches généalogiques permettant de corriger et compléter la généalogie de leurs origines à Gontenschwil. Tableau 1. - Arbre des ancêtres et de leurs enfants, et descendants sur les Tabl. 2 et 3. Connaître leurs ascendances restent impossible à cause des lacunes dans les registres. À la fin des années 1620, Jacob Peter épouse Anna Galliker, à l'église réformée de Gontenschwil où tous deux les habitent. Cependant, la famille Galliker bien qu’habitant le bourg, traînait comme surnom meyhuser d’après leur ancienne origine du hameau de Maihusen. Et Jacob une fois marié en a "hérité", ainsi que ses enfants : c'est qu'il engendrait des désagréments notamment des taxes et impôts alourdies par rapport aux autres habitants. Comme il s'agit d'un surnom, il ne modifie pas le patronyme Peter dont l’usage seul et unique. Il est parfois mentionné dans les actes. Les parents, et leurs enfants, 4 fils habitaient dans le Sud du bourg Gontenschwill. La maison familiale du fils Joggli Peter a brulé en 1880. Famille Galliker Vers le début du XVe siècle une famille Galliker habite au domaine agricole de Maihusen ; à priori, elle était catholique, puisque domaine est mentionné pour la première fois en 1325 comme propriété de l'église paroissiale de Münster (aujourd’hui Beromünster), dont les chevaliers de Reinach tenaient le lieu en fief. Le nom était Meinhus en 1344, ou encore Einhus en 1538, indiquant la présence d'une seule "maison", sise sur le ban de commune de Gunzwil (aujourd'hui fusionnée avec Beromünster, canton catholique de Luzern).
Sur un vitrail (1622) de l'église réformée de Gontenschwil, le blason des Galliker est représenté, c'est celui des meyhuser (ci-contre) d'après les Staatsarchiv Luzern (et aussi avec d'autres armoiries Galliker). Malheureusement, le blasonnement n'a pu être trouvé : s'agirait-il d'une croix en relation avec le Chorherrenstift de Beromünster, le Michelsamt ou les chevaliers de Reinach ? Wynental ou vallée de la Wyna
En 1332, Luzern fait une alliance avec les cantons dits « Waldstätten » (cantons d'Uri, de Schwytz et d'Unterwald, les trois à l’origine de Confédération suisse). Grâce à leur aide, Luzern s'affranchit de la domination des von Habsbourg, empereurs, en 1386 lors de la bataille de Sempach (à environ 10 km dans le sud de Beromünster, - Münster jusqu’en 1934). En 1415, la région est conquise par les Eidgenossen (Confédération suisse), mettant fin à la domination des Habsbourg. Le canton de Berne annexe la partie sud-ouest comprenant cinq villes stratégiques qui se rendent respectivement en avril 1415 : Zofingen, Aarburg, Aarau, Lenzburg et Brugg, créant ainsi l'Argovie bernoise (baillage de Lenzburg), jusqu’en 1803, date de la création du canton Aargau. Le sud du Wynental (Münster, aujurd'hui Beromünster, Neudorf, Gunzwil) faisait partie du Michelsamt, où le chapitre de Saint-Michel à Münster détenait des droits de justice depuis le Moyen-Âge revient au canton de Luzern. Cette période marque un tournant dans l'histoire de la Confédération Helvétique et pour l'Aargau, son intégration en son sein de la Confédération suisse et en redéfinissant ses affiliations territoriales. Ceci impacta localement la frontière entre l’Aargau, partie du Canton de Berne, et le canton de Luzern et plus précisément entre Menziger (AG) et Maihusen (LU) : et les frontières actuelles du canton de Luzern avec l’Aargau, correspondent approximativement à celle de l'époque. En 1528, quand le canton de Berne vota la Réforme (de Zwingli), cela ajouta un petit plus aux frictions locales. Descendance de Joggli Peter (1647-1716) vers les Peterschmitt (Alsace) Tableau 2. - Arbre descendant de Joggli Peter et de Verena Frey. À noter que Samuel Peter (Fig. 3), ancêtre de la descendance Meihuizen (Pays-Bas), n'est pas un fils de Joggli Peter et de Verena Freÿ, mais son neveu, fils de son frère Samuel (voir Tabl. 1 et 3). Cliquez sur l'arbre pour agrandir. De leurs sept enfants, relevés dans les registres paroissiaux réformés de Gontenschwil, des actes de baptême à Gontenschwil, où habitent les parents, sont mentionnées avec pour le père le surnom de Maihuser (voir Tabl. 2), ainsi que sur des actes de décès, ci-dessous Fig. 2. Fig. 2. - Actes de décès (paroisse réformée de Gontenschwyl) à Maÿhausen : ci-dessus de Jacob Peter (père) le 6 mars 1706 - et - ci-dessous de son fils Jacob, forgeron, le 21 février 1745. Parmi la liste des Täufer (ou Wiedertäufer, anabaptistes), bannis et condamnés à l'exil par l'Eglise Reformée (Fig. 3), leur fils Rodoph (Rudi) et son épouse Verena Äschbach, avec leur deux enfants, les seuls devenus Täufer dans la famille. Ils sont partis après la naissance de Baschi (Sebastian) en 1714 vers le Sud de l'Alsace et sont à l'origine de la lignée des Peterschmitt (Emig, 2018).
Fig 4. - Extrait de la Luzernerkarte von Hans Heinrich Wägmann und Renward Cysat 1597-1613 (Staatsarchiv Luzern). Le Nord a été estimé d'après la Fig. 1. Samuel Peter (1673-1758), ses parents et leurs descendants Meihuizen : Nos recherches généalogiques et historiques pour découvrir les ascendants de Rodoph (Rudi) Peter (descendance Peterschmitt ; Tabl. 1 et 2) et de son épouse Verena Äschbach, mariés à Gontenschwil, nous ont fait consulter plusieurs registres paroissiaux réformés de ce bourg. Et là, les parents de Samuel Peter (1673-1758), à l’origine d’une descendance dénommée Meihuizen au sein des mennonites néerlandais, se sont révélés ne pas être les mêmes que ceux de Rudi, qui ont aussi eu deux enfants baptisés Samuel, l’un en 1675, mort au cours de l’année, l’autre en 1679 et décédé en 1709 (Tableau 2). Tous deux nés à Maihusen et baptisés à Gontenschwil. Ainsi, un troisième Samuel qui serait né en 1671 avec une descendance est impossible à envisager. Tableau 3. - Arbre descendant de Samuel Peter (1673-1758) : qui est l'ancêtre de la descendance Meihuizen (Pays-Bas) (Fig. 3). Cliquez sur l'arbre pour agrandir.
Commentaires sur la supposée descendance Meihuizen La généalogie ne permet pas de construire une histoire familiale sur des faits non avérés ou supposés, des actes inexistants ou supposés, mais cela n'est pas le cas pour la mémoire familiale qui véhicule nombre de petits mensonges de famille. Ainsi, l'ascendance de Samuel Peter reste à établir selon les actes. Rappelons que la connaissance du Bürgerort est primordiale en généalogie suisse et, ici pour les Peter, il est Gontenschwil et attesté par leurs armoiries de bourgeoisie. Samuel Peter et son épouse Barbara Freÿ, avec leurs 5 enfants, bannis de Suisse comme Täufer (Fig. 3), s'exilent aux Pays-Bas, fin 1714 à début 1715 : ils y sont accueillis par des mennonites et s'installent à Kalkwijk, près de Hoogezand, dans la province de Groningue. Et, selon la mémoire familiale, ils auraient alors décidés de changer le nom Peter pour celui de Meihuizen, d'après le hameau de Maihusen (Fig. 1) en néerlandisant son nom. Or, rien dans les actes suisse de cette famille ne mentionne un lien avec ce hameau, pas plus que dans l'histoire du lieu. De même, aucun acte néerlandais n'est fourni pour assoir cette assertion. Faut-il rappeler que l'enregistrement du nom de famille est obligatoire aux Pays-Bas depuis 1811, date de l'annexion de la Hollande à l'Empire français par Napoléon (et toujours en vigueur), les enfants prenant automatiquement le nom de leur père. ![]() En Suisse, le patronyme de la famille Peter est bien établi et uniquement Peter. Quant à une origine sous Galliker (ou Galligker), voire un impossible changement pour Peter, ce sont des interprétations non fondées de la famille au cours du XIXe siècle (voir Réferences), puisque les Peter sont une des anciennes familles de Gontenschwil comme l'atteste les registres. En outre, deux familles de Galliker ont leur Bürgerort à proximité : à Gunzwil, dont une présence à Maihusen (Steiner, 2021), et à Pfeffikon. D'autres sont mentionnées, mais uniquement dans le canton catholique de Luzern et aucun dans l'Aargau. Les armoiries de quelques familles sont connues (Fig. 4). Fig 4. - Armoiries de bourgeoisie des Galliker ayant comme Bürgerort les localités citées (d'après Staatsarchiv Luzern et aussi avec d'autres armoiries). Un vitrail du chœur de l'église réformée de Gontenschwil avec des armoiries Galliker, vues en 1890 est considéré comme celles de l'ancêtre Hans Galliker [4] de la lignée Peter, car il aurait décidé de changer son nom Galliker pour Peter : ceci est sans fondement sinon contredit par les actes paroissiaux de Gontenschwil, nos recherches développées ici (Tabl. 1-3) et les armoiries de bourgeoisie des Peter de Gontenschwil. Notes : [1] Les registres paroissiaux de Gontenschwil (AG) ont des lacunes qui sont : Taufen baptême (depuis 1558) : 1641-1671 ; Ehe mariage (depuis 1559) : de 1591-1597, 1599-1684, 1723-1728 ; Tote-décès (depuis 1684) : de 1723-1728. Aussi, avons-nous limité la généalogie pour les ascendants à Joggli Peter, dont les parents ne peuvent être trouvés, comme pour Samuel Peter. Les arbres, notamment des mennonites sur les supposés ascendants non sourcés sont erronés. Pire, le copier-coller généalogiste très actif accentue la diffusion des erreurs. [2] Un prénom en Schweizerhochdeutsch, le standard allemand suisse, peut présenter des variants plus ou moins nombreux selon les lieux et les cantons. Les traduire en français, comme pour les prénoms allemands, notamment alsaciens, peut vite engendrer une confusion.
[3] Le Bürgerort (aussi nommé Heimatort) est le lieu d'origine dont chaque citoyen suisse est déclaré ressortissant. Il est lié à la notion de Bürgerecht ou droit de bourgeoisie (voir Racines suisses). Le Bürgerort ne doit pas être confondu avec le domicile ou le lieu de naissance, mais les deux peuvent être les mêmes. [4] À titre d'exemple : baptême de Samuel Galliker le 26 mai 1620, les parents sont Hans Galliker et Anna Peter - acte paroissial réformé, p. 139, Gontenschwil (AG). Remerciements Il me plaît de remercier pour leur aide, combien précieuse, d'abord Gaby Gerber, alias mya6855, qui, sur un forum Geneanet, m'a mis sur la piste des Peter comme habitants de Maihusen, et, Irène Peterschmitt qui m'a fort bien secondé dans les recherches des actes Peter à Gontenschwil, notamment en me signalant les deux enfants Samuel nés à Maihusen. Ancêtres Eschbach / Äschbach de Verena Äschbach, Taufer, épouse de Rudi Peter,
Fig 5. - Carte avec les localités citées pour la famille Äschbach (voir aussi Fig. 1 et 4). Ce sont les troubles de la guerre de Trente Ans, ainsi que la re-catholicisation imposée dans le Vorderer Österreich (Autriche Antérieure), possession de la maison de Habsbourg, qui chassèrent le forgeron protestant Hans Eschbach de sa ville natale vers le Canton Réformé de Berne. Il s’installe à Brugg, change son nom pour Äschbach et y épouse, en 1643, Verena Meyer, la fille d'un bourgeois, de la ville. Fig 6. - Blason des Äschbach de Leutwil - le blasonnement est : D’azur à la fasce ondée d'argent chargée d'un ombre commun d'azur, avec trois étoiles d’or, deux en chef et un en pointe [Note : le blasonnement originel n'a pas été trouvé]. Pour sa descendance, ses 2 filles se marient à Leutwil, tandis que pour ses 5 fils : Hans l'ainé s'installe à Hendschiken ; Fridli à Gontenschwil où il se marie vers 1679 avec Peter Madlenÿ, puis, en 1688, il se marie en secondes noces avec Mareÿ Peter. Probablement la famille déménage à Leutwil ; Jacob à Burg ; Heinrich à Reinach. Tableau 4. - Arbre descendant de Hans Eschbach / Äschbach (1673-1758) qui, par sa petite-fille Verena Äschbach, est l'ancêtre de la descendance Peterschmitt (Alsace) (voir Tabl. 2 - flèche bleue). Cliquez sur l'arbre pour agrandir.
Etymologie du nom Äschbach et blasonnement des armoiries Si le changement de patronyme de Hans Eschbach pour Äschbach, en se mariant à Brugg, ne change pas la phonétique du nom, les armoiries de bourgeois de la famille Äschbach (Steiner, 2000 ; Fig. 6) ne prend pas en compte l'étymologie de nom Eschbach qui signifie une frênaie au bord d’une rivière, voir ci-dessus, car c’est un poisson qui y figure : le blasonnement originel n’est pas connu. Alors nous nous sommes poser la question : pourquoi un poisson dans le blason et quel espèce de poisson, et pas un frêne ? Le village d’origine de la famille est probablement Eschbach bei Waldshut (Fig. 5) : or, son typonyme viendrait du celte esc qui signifie trouble, sale donc une rivière turbide. A lire le long historique d’Eschbach : xxxxxxxxx La signification du changement de la première partie du nom composé Esch vers Äsch m’a conduit à rechercher si Äsch n’avait pas une signification différente de Esch. Deux dictionnaires sont sollicités qui donnent la même réponse pour la région géographique concernée : Äsche y est le nom du poisson Thymallus thymallus (son nom d'espèce actuel) d'après le Rheinische Wörterbuch (dictionnaire de l'allemand rhénan) et du Schweizerischen Idiotikon (en Schweizerhochdeutsch), il y est aussi nommé Alpenforelle ou truite alpine. Ce mot a été introduit en ce sens, mais sans données précises, dans la version révisée et complétée entre 1965 et 2018 du dictionnaire allemand de Grimm & Grimm.
![]() Ce poisson a été décrit par Linné en 1758 sous le nom Salmo thymallus probablement pour son odeur de thym qui vient de son mucus ; il est originaire du bassin du Danube. C’est une espèce grégaire qui vit en banc dans des eaux vives et fraîches. Sa nageoire dorsale colorée, longue et haute, est soutenue par une vingtaine de rayons et son œil est cerclé de jaune. Elle a été introduit dans diverses régions françaises. En Suisse, l'ombre commun (son nom en français) a fait l'objet d'une étude scientifique en 2002 suivie de plusieurs autres depuis : voir https://www.thymallus.ch/. Ainsi s'explique les armoiries de la famille Äschbach en Aargau à l’époque bernoise, car c’est bien ce poisson qui est représenté héraldiquement (donc avec une certaine liberté figurative) dans les blasons familiaux. chapitre en cours de rédaction En recherchant des armoiries comportant des poissons (indéterminés) notamment en Alsace et dans le Sud de l’Allemagne, on peut constater que l’Ombre commun y est bien représenté da,s des blasons, bien que non nommé. Références Bosma J. (2024). Meihuizen, Hendrik Wiebes. https://www.mennlex.de/doku.php?id=art:meihuizen_hendrik_wiebes&s[]=meihuizen, consulté le 10 juillet 2025. Dubler A.M. (2008). Droits territoriaux. Dictionnaire historique de la Suisse, https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/047691/2008-09-09/, consulté le 18.07.2025. Emig C. C. (2009). Patronymic changes of the name Schürch. Schürch Family Association of North America, Biannual Newsletter, 27B, p. 6. Emig C. C. (2018). De l’origine bernoise des Peterschmitt. Nouveaux eCrits scientifiques, NeCs_02-2018, p. 1-6. Familievereniging Meihuizen, http://www.meihuizen.com/index.php/geschiedenis (en néerlandais), consulté le 14 juillet 2025. Fischer L. (1927). Der Stammsilben-Vokalismus der Mundart des Luzerner Gäus. Abhandlung zur Erlangung der Doktorwürde der ersten Sektion der hohen philosophischen Fakultät der Universität Zürich. Huber, Frauenfeld, 120 p. Holenstein A. (2014). Hintersassen. Historisches Lexikon der Schweiz (HLS), https://hls-dhs-dss.ch/de/articles/015998/2014-12-05/, konsultiert am 17.07.2025. Hörsch W. (2016). Pfeffikon. Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/000648/2016-11-04/. Huizinga J. (1890). Stamboek of Geslachtregister der Nakomelingen van Samuel Peter (Meihuizen) en Barbara Fry van Gontenschwyl (Aargau-Zwitserland) omvattende de jaren (1771) 1714 tot met 1889 (en néerlandais). Groningen, 232 p. - pdf online in Google books. Kopp P. F. (2014). Armoiries. Dictionnaire historique de la Suisse. https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/012809/2014-12-27/, consulté le 18.07.2025. Lutz M. (1856). Vollständiges geographisch-statistisches Hand-Lexikon der Schweizerischen Eidgenossenschaft. Sprecher, Aarau, 2 vol., 527+530 p. [Mayhausen: Bd 2, p. 19] Schweizer R. J. & C. Müller (2021). Droit de cité. Dictionnaire historique de la Suisse. https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/008969/2021-01-11/, consulté le 18.07.2025. Steiner P. (2000). Die alten Familien von Gontenschwil. Jahresschrift 1999/2000, Historischen Vereinigung Wynental, Reinach. Steiner P. (2003). Aeschbach (Wynen-, See-, Bünz-, Suhrental). Historische Vereinigung Wynental, https://www.hvw.ch/aeschbach.242de.html?ovy=2 , consulté le 20 juillet 2025. Steiner P. (2021). Streitigkeiten zwischen Menziken und Maihusen. Wynentaler Blatt, 5p. Steiner P. & R. Bolliger (2000). Kirchenbücher Gontenschwil : Gemeinden Gontenschwil und Zetzwil, 1558-1816. (Reinach [Aargau]: Historische Vereinigung Wynental, c2000). Walti H. (2007). Gontenschwil. Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/001720/2007-01-04/. Widmer-Dean M. (2013). Wynental. Historisches Lexikon der Schweiz (HLS), https://hls-dhs-dss.ch/de/articles/008536/2013-11-27/. Zijpp N. van der (1957). Meihuizen family. Global Anabaptist Mennonite Encyclopedia Online. https://gameo.org/index.php?title=Meihuizen_family&oldid=144028, consulté le 14 juillet 2025.
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