• S'appeler Schürch n'implique en rien que tous les porteurs de ce patronyme appartiennent à la même famille (voir Onomastique). Au moins 19 familles distinctes ont été recensées en Suisse, la plupart sans lien de parenté, c'est le cas de notre famille Schürch originaire de Sumiswald - voir aussi patronyme et variantes. Les recherche sur l'ADN n'apporte pas (encore) de bonne réponse sur nos véritables origines (1).


• Les très nombreuses variantes supposées du patronyme Schürch n'impliquent pas plus que ces porteurs seraient membres de la même famille et ni même qu'une de ces variantes aurait comme origine le nom Schürch sauf au sein d'une famille donnée (voir Onomastique et Patronyme et variantes).

La liste des immigrants "Schürch" publiée par la "Schürch Family Association of North America" ne tient pas compte
de l'origine des immigrants (ascendants et localités), ni des noms et prénoms originels.

 Fascicule avec fiche familials et arbre ascendant (2018, révisé) pour chaque émigrant  

  Booklet with family files and pedigrees (2018, revised) for each emigrant [in French]

À lire aussi : Emig C. C. (2016). Emigrants Schürch de Sumiswald (Suisse) aux USA. NeCs, NeCs_02-2016, 10 p.  

    (a) born in CH-Basel with parents born in Sumiswald / nés à Bâle de parents nés à Sumiswald - (b) children born in Switzerland and/or Germany / enfants nés en Suisse ou en Allemagne.
    Lancaster Co et Lebanon Co en Pennsylvanie ; Dade Co en Georgie ; Hamilton Co au Tennessee ; Ontario au Canada.
    Les noms Schürch en noir indiquent des enfants dont le père est en rouge.

  (c) née à CH-Eggiwil (Emmental, Canton de Berne) ; (d) née à CH-Niederbipp (Haute-Argovie, Canton de Berne).
    Montbéliard : 25200, Doubs, Franche-Comté ; Eschentzwiller : 68440, Haut-Rhin, Alsace ; environs de Marseille : Bouches-du-Rhône, Provence ; L'Haÿ-les-Roses : Val-de-Marne, Ile-de-France.

(1) La génétique prônée par des généalogistes relève de celle des populations : elle ne s'appuie que sur l'ADN-Y - celle du chromosome Y, ce qui ne permet que de remonter avec plus ou moins de résultats la lignée patronymique mâle sur quelques générations (alors qu'à la 10e génération il ne représentera plus qu'un ancêtre sur 512 !) Quant à l'ADN-mt, mitochondrial pour la lignée féminine, cette génétique reste encore aléatoire. En outre, les migrations introduisent le polymorphisme, ce qui complique l'analyse des résultats, essentiellement basé sur des statistiques. En fait, c'est un juteux commerce et les gens paient pour ce qu'ils savent déjà en ayant fait une généalogie un peu lointaine - et certains ne s'y feront pas reprendre, comme un cousin américain avec une forte parenté alsacienne: il a appris que son ADN correspondait à une population scandivave - bon résultat car son père, comme ses ancêtres paternels sont suédois ! Un cousin Schürch, généalogiste, sait maintenant qu'il est d'origine indo-européenne. Face à de si précieux résultats, il n'y a rien à ajouter.
Lire Quelques réflexions sur la Généalogie et sur son usage