Famille Emig   Schürch

Galerie de Portraits Schürch n°4

 

Arbres des parents :




La généalogie des Schürch (Bürgerort Sumiswald) peut être consultée sur nos bases Geneanet :
emig
abouisson

Berne : Réunion familiale (début des années 1950) à l'initiative de mon "Omutti" Martha Schürch, épouse Wohlhüter
réunissant ses enfants et petits-enfants, ses frères et soeurs, neveux et nièces


Paul Wernly - Maya S. (cachée) - Alice S. née Gubler - ? - Hanna Wernly née S. - Charles Emig - Nelly Emig, née Wohlhüter - Sylvie Bilger - Leni Wernly - ? - Heinz Wernly - Ernst - Anna S. née Plattner - Rosemarie S. - Martha Wohlhüter née S. - Lori Bilger née Wohlhüter - Kurt S. - Rose Ernst*     -     Premier rang : Christian Emig - Rose Marie Emig - Katharina S. - Tony S. - Beat S.


Paul Wernly - Maya Schürch - Alice S. née Gubler - Hanna Wernly née S.- Charles Emig - Nelly Emig, née Wohlhüter - Sylvie Bilger - Rose Marie Emig (devant)

Nota : légende des photos de gauche à droite ; S. pour Schürch

* Les Ernst étaient des amis boulangers à Huttwil.


Sylvie Bilger, Beat S., Christian Emig, Katharina S., Rose Marie Emig, Tony S.


Tony S. - Beat S. - Nathalie S. née Wannenmacher - Ernest Bilger - Anna S, née Plattner - Martha Wohlhüter née S. - Elsbeth Wernly - Lori Bilger, née Wohlhüter - Rose Ernst - Mitti S. - Kurt S.


 

La famille Ernst avait de fortes relations d’amitié avec les Schürch. Elle tenait une boulangerie que j’ai bien connue et j’ai encore le goût de leur Nußgipfeln (croissants farcis aux noisettes-amandes) et le Ämmitauer Lebkuchen (pains d’épices de Huttwil).

Leur fils Franzi (Franz) était un ami d’enfance de ma mère et de ma tante remontant à l’école primaire à Huttwil, où allait ma mère pendant la première guerre mondiale. Il était chauffeur privé et grand danseur de claquettes. Il tenta sa chance aux USA et mourut dans la cinquantaine, je crois qu’il avait une tendance homosexuelle.

Franzi avec sa mère Paula.

Chaque fois qu’il passait en Alsace, il venait à la maison. Je me souviens qu’un après-midi au lycée Bartholdi à Colmar, alors en classe de 4e en 1954, le proviseur vint me chercher en classe pour m’emmener dans l’entrée où m’attendais Franzi et ma mère pour partir sur le champ chez ma tante à Sarrebourg, dans son énorme Cadillac ! stationnée devant l'entrée, ce qui n'était pas passé inaperçu au lycée.


"La mémoire, c'est comme une photographie, elle jaunit avec l'âge"

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