Famille Emig - Bouisson

Famille Volland de Riquewihr et Beblenheim, originaire de Markgröningen (Comté de Wurtemberg)

by Google     mit Google

 Fermer la fenêtre


      Sommaire 



Famille VOLLAND, famille patricienne de Markgröningen (Württemberg)



Les Volland, une famille patricienne [1] souabe, sont connus depuis le milieu du XIVe siècle dans la ville de Grüningen (aujourd’hui Markgröningen) notamment avec des fonctions de juges, d'huissiers et de conseillers. Leur nom apparaît pour la première fois dans la liste des bourgeois de Grüningen en 1396.

Blason de Grüningen qui est situé à une vingtaine de km au Nord de Stuttgart, capitale du duché de Wurtemberg.

L’origine du nom Volland (aussi Follant, Voland) serait dérivée, selon Römer (1933), du nom Fahland, un synonyme de diable.

La lignée principale débute avec Albrecht Volland (1340-1390)[Sosa 627136], juge et instituteur de l'école latine de Markgröningen, puis Heinrich Volland (1390-1467), caviste et marchand, fonda la lignée à Markgröningen, tandis que son frère Erhard Volland (†1433) engendre une lignée à Schwäbisch Hall [2]. En 1468, son fils Ludwig Volland I (1460-1501) reçut une lettre d'armoiries de l'empereur Friedrich III. (1415-1493) et s'installa dans la ville impériale de Schwäbisch Hall, où il épousa Anna von Rinderbach en 1488, puis Anna Schultheiss en 1495, toutes deux de la petite noblesse. La famille est admise dans la société aristocratique « Zum Esel » en 1527.

Arbre généalogique descendant direct de notre parenté avec Alberlin Volland
(en bleu, les générations avec le n° Sosa) - voir aussi l'arbre descendant en
pdf    

La lignée restée à Markgröningen est celle de nos Sosa : ses membres marquèrent l’histoire de ce bourg dont ils sont les plus riches bourgeois et au-delà aussi parmi les plus riches du duché de Wurtemberg. Ils étaient des mécènes, notamment pour l’hôpital du Saint-Esprit (Heilig-Geist-Spital) avec Philipp Volland, dont les armoiries sont en évidence dans le chœur, et dans la Bartholomäuskirche, façade sud où la famille disposait d’une chapelle la Vollandkapelle avec les tombes. C’est probablement Heinrich Volland (1502-1558) qui possédaient la maison Vollandhaus : au fronton de l’entrée la date 1545, et trois écus (voir ci-dessous). Surmontant un écu inconnu et celui des Volland, l'écu des Wurtemberg peut ici avoir plusieurs explications : un rappel à la possession de la ville d'empire de Grüningen depuis Ulrich III. von Württemberg, à l'ascendance de la grand-mère de Heinrich, Elisabeth Lyher, elle-même petite-fille illégitime d'Eberhard IV von Württemberg.

La Réforme fut introduite par les ducs de Wurtemberg dès 1534, ce qui entraîna bien des événements. Les références et liens ci-dessous permettent d’approfondir la vie et l’histoire de nos ancêtres à Markgröningen. Au moins une partie de la famille opta pour la Réforme et devint luthérienne.
La famille quitta définitivement la ville en 1560 ; après la mort de son grand-oncle Ambrosius en 1551, dernier membre de la famille Volland à Markgröningen, Michael Volland transfère le bénéfice Volland dans l’église Saint-Barthélémy [3] en 1560 et probablement (ou son fils ?) déménage à Wissembourg ou Strasbourg en Alsace. Il est anobli à Spire avec le titre de comte palatin, 23 août 1570.

A la fin du XVIe siècle, les représentants des deux lignées de la famille Volland sont nombreux et dispersés, au point que leur trace se perd.


Armoiries

Les armoiries d’origine proviennent de Wappenbriefe (lettres d’armoiries) établies probablement dès 1428, néanmoins celles connues datent de 1468 de l'empereur Friedrich III (1415-1493) données à Ludwig Volland né à Vaihingen an der Enz et marié à Schwabisch Hall (Siebmacher, 1911, p. 183-184). Le blasonnement est : in Gold einen schwarzen Schenkenbecher. Auf dem Helm zwei schwarze oder goldene Hörner. Sa lignée sera anoblie et les différentes branches auront des armoiries améliorées distinctes, dont les von Vollandseck, à Ravensburg.

Armoiries des Volland en fac-similé d'après Seyler (1911, Pl. 98) duché de Wurtemberg : 1.- celle de Ludwig en 1468 : 2.- celle de noblesse d'Ambrosius (1530) ; 3.- celle de Caspar, reprise par son fils Gabiel ; 4.- celle de noblesse de Michael (1570).


Blason de Philipp Volland dans le chœur de l'hôpital du Saint-Esprit vers 1520.

Blason (bas droit) des Volland à l'entrée du Vollandhaus, sis au 24 Ostergaße à Markgröningen - 1542.

Armoiries de Gabriel Volland en 1579 (Tübingen)

Quant à la lignée Volland de Markgröningen, elle dispose d’armoiries de bourgeoisie dont nous ne connaissons que deux représentations du blason : vers 1520 de Philipp Volland (1473-1537) [Sosa 39196 - G16] dans le chœur de l’église de l’hôpital du Saint-Esprit, en 1542 au fronton du Vollandhaus, appartenant probablement à Heinrich, fils de Philipp. Et un blasonnement de Caspar Volland (1500-1561) [Sosa 19598 - G15] rapporté par Seyler (1911) : Im blaue Schilde einen goldenen Trinkkopf; auf dem Spangenhelm einen wachsenden blauen gekleideten Man, mit Lorbeer gekrönt, in der Rechten den Trinkkopf haltend  - D'azur un ciboire d'or. Cimier : un heaume de « noblesse ?», homme issant, habillé de bleu et coiffé d'une couronne de lauriers, tenant dans sa main droite un ciboire d'or ; lambrequins d'or et d'azur. Ces armoiries ont été représentées par Gabriel (1546-1609), fils de Caspar, en 1579 à Tübingen : le heaume est bien un Stechelhelm, casque de bourgeois.
Deux membres de cette lignée ont été anoblis et ainsi ont modifié leur armoiries par leurs lettres de noblesse (ci-dessus Voland 1, et, Voland 4) : Ambrosius Volland (1468-1551), fils aîné de Heinrich et Elisabeth Lyher, a été anobli comme chevalier le 20 septembre 1530 par Charles-Quint (1500-1558) ; et Michael Volland (°1528-†>1577), neveu de Caspar, est anobli à Spire avec le titre de comte palatin, 23 août 1570 par l’empereur Maximilian II. (1527-1576).

Remarques :

1. La figure unique de l’écu a évolué au cours du temps et selon les blasonnements et les lignées : elle est décrite et représentée comme Trinkkopf = Trinkfäsz = Trinkgefäsz, Stürtzbecher, Schenkebecher ou Doppelhumpen, de noms qui ne sont pas forcément des synonymes et en outre ne se traduisent peu ou pas en français, parfois calice, ciboire, car spécifique du pays.

2. Il a parfois eu confusion entre les armoiries des membres des différentes lignées et branches et ainsi conduit à celle dans les relations familiales.

Carte des environs de Stuttgart (Bade-Wurtemberg, Allemagne) - localisation du château ancestral, et les armoiries des comtes von Württemberg.


Alsace : descendants Volland

La découverte d’une copie du testament (daté du 10 mars 1592) de Margarethe Volland, originaire de Markgröningen, aux Archives départementales du Haut-Rhin (notariat  de Riquewihr) (Wolff, 1973), a relancé la recherche. Plusieurs membres vécurent au XVIe siècle dans la seigneurie de Riquewihr : Anna, Erhart, Agnes et Elisabeth, enfants de Caspar Volland (1500-1554) qui le frère de la testatrice, et leur cousin est le pasteur Johannes WILD. Caspar et Margaretha sont des enfants de  Philipp Volland et Agnes Breuning.
Margarethe Volland avait épousé en premières noces Christoph Lang, et en secondes noces Simon Lentz, bailli de Güglingen, deux mariages sans d'enfants.
Le testament désigne huit héritiers, parmi lesquels deux fils de son défunt frère Dr Caspar Volland : Mag. Gabriel Volland à Stuttgart et Mag. Erhardt Volland à Riquewihr. Les autres enfants de la fratrie devraient donc être morts en 1592, à savoir : Johann, Anna, Georg, Margaretha, Agnes et Elisabeth.
C’est parmi les descendants d’Anna Volland que se trouvent nos Sosa.


Détails de notre ascendance Volland... et von Württemberg

Nos ancêtres Volland ont été récemment étudiés, suite à diverses publications notamment dans leur bourg d'origine de Grüningen dans le comté de Wurtemberg. Or, les seigneuries de Riquewihr et de Horbourg appartenaient aux Wurtemberg depuis l'achat fait en 1324 par Ulrich III. von Württemberg (~1295-1344) et ju!squ'en 1796. Or, ce comte possédait aussi la ville d'empire de Grüningen (aujourd'hui Markgröningen).

Arbre descendant de nos Sosa Volland [cliquez dessus pour agrandir].   

Dans l'ascendance de nos Sosa Volland, qui sont originaires de cette ville (voir ci-contre [4]), Heinrich Volland (1428-1482) a épousé Elisabeth Antonia Lyher (1442-1490), dont la grand-mère, la comtesse von Dagersheim, a été la maîtressse attitrée du comte Eberhard IV von Württemberg, dont elle a eu deux filles illégitimes ; néanmoins, le couple n'en est pas moins parmi nos ancêtres ! Or, le comte Ulrich III. von Württemberg cité ci-dessus est l'arrière-arrière-grand-père d'Eberhard IV !

Tableau de nos Sosa Volland et partiellement de ceux Württemberg- liste établie le 11 avril 2022.

Volland Alberlin est un ancêtre à 20 G d'EMIG Christian et

von WÜRTTEMBERG Hermann serait [5] un ancêtre à 25 G.    

[5]      von WÜRTTEMBERG Hermann (-< 1236)
? père de  von WÜRTTEMBERG Ulrich I. (-1265)
père de  von WÜRTTEMBERG Eberhard I. (1265-1325)
père de von WÜRTTEMBERG Ulrich III. (>1291-1344)
père de  von WÜRTTEMBERG Eberhard II. (>1315-1392)
père de  von WÜRTTEMBERG Ulrich (>1340-1388)
 VOLLAND Alberlin (Albrecht) (~1340-~1400) père de  von WÜRTTEMBERG Eberhard III. (1364-1417)
père de  VOLLAND Hans (~1365-1418) père de  von WÜRTTEMBERG Eberhard IV. (1388-1419)
père de  VOLLAND Heinrich (1400-1467) père de  von DAGERSHEIM Antonia (1417-)
père de  VOLLAND Heinrich (1428-1482)           x 1464 [4] mère de  LYHER Elisabeth Antonia (1442-1490)
père de
 VOLLAND Philipp (1472-1537)
père de
 VOLLAND Caspar (1500-1554)
père de
 VOLLAND Anna (1538-<1577)
mère de
 FEHR Margaretha (1565-~1595)
mère de
 WEYRICH Maria Magdalena (~1585-1628)
mère de
 BINDER Hans David (1611-1681)
père de
 BINDER Hans Heinrich (1646-1718)
père de
 BINDER Johann David (1672-1712)
père de
 BINDER Maria Salome (1711-1751)
mère de
 KESSEL Johann Jacob (1745-1834)
père de
 KESSEL Johann Conrad (1787-1839)
père de
 KESSEL Anne Marie (1815-1880)
mère de
 WITTNER Anne Marie (1840-1933)
mère de
 EMIG Jean Charles (1865-1928)
père de
 EMIG Charles (1909-1970)
père de
 EMIG Christian Charles Théodore (1941-)

[ Sosa de Christian Emig : et ]

La découverte d’ancêtres directs Württemberg par les Volland fut une surprise plus historique que généalogique. En effet, une grande partie de nos familles alsaciennes haut-rhinoises étaient sujets des Württemberg, vivants dans les seigneuries de Riquewihr et de Horbourg et aussi dans le comté de Montbéliard.

Arbre ascendant de nos Sosa Volland et von Württemberg [cliquez dessus pour agrandir].

Nos ancêtres von Württemberg  sont parmi les premières générations des comtes de cette famille de nobles francs-saliens (tribu allemande) [6]. Ils sont venus d'ailleurs pour s'intaller dans la région de Stuttgart ; on trouve des témoignages datés au XIe siècle de leur présence en Souabe, notamment leur château ancestral de Wirtenberg [7], à Beutelsbach, qu’occupait Konrad von Württemberg après l'avoir contruit suite à son mariage : son sceau représentait déjà l’écu des von Württemberg. Il fonde la maison des Württemberg : leur seigneurie devient comté en 1143, duché en 1495 par la Diète de Worms, puis en 1806 royaume sous Napoléon.

   

Sceau du comte Konrad von Württemberg au XIe siècle - © Landesarchiv Baden-Württemberg.

Ecu des Württemberg (ci-contre) et blasonnement des armoiries des comtes (ci-dessous) :
In Gold drei schwarze Hirschstangen übereinander liegende. Helmzier: ungekröntem Helm mit rot-goldenen Decken ein rotes Jagdhorn (Hifthorn) mit goldenem Band und goldenen Beschlägen.  -  D'or à trois demi ramures de cerf de sable. Cimier : heaume non couronné, un cor de chasse de gueules (Hifthorn) hissant avec une sangle d'or. Lambrequins de gueules et d'or. Et plus sur les armoiries Württemberg/Wurtemberg...

Nos Sosa de la lignée des comtes von Württemberg commencent avec Eberhard IV (1388-1419) par sa fille Antonia (illégitime) avec sa maîtresse attitrée la comtesse Agnes von Dagersheim et se poursuit jusqu’à Ulrich I. dont le père est probablement Hermann, mais sans preuve documentée. Ulrich habitait le château de Wirtenberg à Beutelsbach ; il est le fondateur de la Maison Wurtemberg.

Quelques remarques sur quelques-uns des von Württemberg (voir arbres ci-dessus) en relation avec nos familles alsaciennes :

  • Le mariage du comte Ulrich I. avec Mechthild von Baden, en 1251, amena la seigneurie de la ville de Stuttgart qui deviendra la capitale du comté de Wurtemberg en 1315.
  • Le comte Ulrich III (vers 1291-1344) mérite une attention particulière par des décisions historiques : en 1317, il transféra la capitale du comté à Stuttgart ; en 1324, il acheta la seigneurie de Riquewihr et le comté de Horbourg à ses neveux sans descendance, ces possessions seront vendu à la France en 1796 ; en 1336 il eu la possession de la ville d’empire Grüningen (aujourd’hui Markgröningen) avec le titre de seigneur de Grüningen, en fief héréditaire.
  • Armoiries du comte Ulrich III. avec le drapeau impérial (Reichssturmfahne) acquis avec la possession de Grüningen,
    obtenu de l'empereur Ludwig IV. (1282-1347) en 1336.
       

  • Sous le règne du comte Eberhard III. (1392-1417), suite à la promesse de mariage du futur comte Eberhard IV avec Henriette de Montbéliard en 1397, le mariage en 1407 a permis l'acquisition du comté de Montbéliard (Mömpelgard en allemand) qui sera vendu à la France en 1796.
  • Le duc Ulrich VI von Württemberg (1487 à Riquewihr - 1550 à Tübingen) succède à son oncle Eberhard VI de Wurtemberg comme duc de Wurtemberg et comte de Montbéliard en 1498 : de 1534 à 1537, il introduit la Réforme de Luther et fait de son duché un territoire protestant, où il était le chef de l'Église protestante.
  • Il faut rappeler que la noblesse d'Alsace est une des plus anciennes et des plus illustres, parfois déjà avant la fondation du Saint-Empire qui a été une fédération avec un empereur élu depuis son origine en 962.


    Notes :

    [1] Appartenant à la classe „Altwürttembergischen Ehrbarkeit“ et avait des armoiries de bourgeois. Plusieurs membres de la famille étaient déjà mariés à la noblesse terrienne souabe.

    [2] Ville dont est originaire notre Sosa Andreas Sandherr (1480-1565)[Sosa 19636], venu s'établir à Colmar.

    [3] Au moins ses arrières grands-parents y sont enterrées dans la chapelle Volland sur le flanc Sud.

    [4] L'épouse Elisabeth Antonia Lyher (1442-1490) est une petite-fille illégitime du comte Eberhard IV von Württemberg, dont l'arrière arrière grand-père Ulrich von Württemberg a acheté les seigneuries de Riquewihr et de Horbourg à ses neveux. Elle et ses ascendants sont de nos Sosa !

    [5] Selon les dernières recherches historiques, nos ascendants von Württemberg sont attestés jusqu'à Ulrich I. dont le père est probablement Hermann, mais sans preuve documentée à ce jour. Et plus sur les Württemberg/Wurtemberg... .

    [6]  Chlodwig I. (466-511) [Clovis en français] fut leur roi avant de devenir celui de tous les francs qui parlaient le vieux-francique (Altfränkisch), une protolangue qui deviendra rapidement minoritaire au sein des dialectes franciques. L’origine des Württemberg est à rechercher dans l’entourage de la maison impériale salienne.

    [7] Le patronyme Württemberg provient probablement du nom Werdenberg de la montagne au Luxembourg et du château qui s'y dressait autrefois, dont la famille de nobles francs-saliens serait originaire. Plus rarement évoqué par les historiens, il dériverait du Wirtenberg sur lequel le château ancestral a été construit entre Beutelsbach et Waiblingen ; l'origine de ce nom est probablement du celtique Wirodunum.


    Références

    Biographisches Lexikon des Hauses Württemberg (1997). Online-Version von Das Haus Württemberg. Ein biographisches Lexikon, hrsg. von Sönke Lorenz, Dieter Mertens und Volker Press, Stuttgart. .

    Fendrich H. (2003). Die Volland in Markgröningen unter die Lupe genommen. Südwestdeutsche Blätter für Familien- und Wappenkunde, 23 (9), 353-368.

    Greule A. (2005). Keltische Ortsnamen in Baden-Württemberg: Wir können alles - außer Latein. In: Imperium Romanum - Römer, Christen, Alamannen, Die Spätantike am Oberrhein, p. 80-84

    Landesarchiv-Baden-Württemberg. Graf Ulrich III. von Württemberg in Rüstung mit Reichssturmfahne, Graf Eberhard (der Erlauchte) (1265-1325). Hauptstaatsarchiv Stuttgart, .

    Helmers J. R. (1705). Erneuert- und Vermehrtes Wappen-Buch. Froberg, Nuremberg, 1417 p.

    Humbracht J. M. (1707). Die höchste Zierde Teutsch-Landes und Vortrefflichkeit des Teutschen Adels : vorgestellt in der Reichs-Freyen Rheinischen Ritterschafft ... Stamm-Taffeln und Wapen ... Knoch, Franckfurt am Main, 301 p. dont 293 doubles p.

    Liebler G. (2002). Das Geschlecht der Vollands. Stadtbrille, 7, 76-78.

    Rencker E. (1887). L'Alsace féodale 1632-1790 [auteur Loyson M. A. G. F. X. (1730-1798)]. Revue d'Alsace,(n. sér. 1), 38, 44-66 & 145-172.

    Römer H. (1933). Markgröningen im Rahmen der Landesgeschichte I. Urgeschichte und Mittelalter. Markgröningen, p. 168.

    Römer H. (1933).  Bezeichnung des Teufels als Mörder; derfahl macht. xxx 57/58, p. 88.

    Römer H. (1933). Aus der Geschichte von Markgröningen. Führer durch Markgröningen, Markgröningen, 16 p.

    Schad P. & G. Liebler (2002). Das Gebäude Ostergasse 2 4 - "Vollandhaus". Stadtbrille, 7, 67-78.

    Seyler G. A. (1911). J. Siebmacher’s Wappenbuch. Band 6 (Abt. 2 : Abgestorbener Württemberger Adel), Bauer & Raspe, Nurnberg, 275 p. + 152 Pl.

    Wechsel-Schrifften vom Reichsbannier (1695). Förstern, Hannover, 299 p. .

    Wolff C. (1973-1975). Neues über die Volland im 16. Jahrhundert. Sudwestdeutsche Blätter für Familien- und Wappenkunde, 14 (36), 128-136,

    Wolff C. (1975). Des ancêtres d'Albert Schweitzer (XV). Bull. du Cercle généalogique d'Alsace, 29 (1), p. 5-10.

    Liens

    Nota : S'agissant de l'histoire de l'Allemagne, les pages Wikipedia en allemand informent largement plus et mieux que les françaises.



          Famille Volland
          Famille von Württemberg
      [ sur site emig]
            Famille Volland
          Famille von Württemberg
      [sur site abouisson]