Famille Emig - Bouisson

    Noblesse du Saint Empire :   Note importante

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Notre Armorial familial
Unser Ahnen-Wappenbuch

Onomastique familiale :
alsacienne, suisse, allemande
Noblesse du Saint Empire

Note importante

Quelques pages ancestrales :

  • Greiner - Stähelin
  • Volland
  • von Württemberg
  • Habsburg-Bayern-Valois

  •  

     

     


    Copyright

     

    Note sur la noblesse du Saint Empire

     

    Depuis les Carolingiens, les souverains de l’Empire Franc [1] - römische Herrscher sont principalement désignés comme roi romain – römisch et empereur romain – römisch. Puis, durant le Saint-Empire, créé en 962 par l’empereur romain Otto I. der Große, c’est à partir de Rudolf I. [2] von Habsburg (1218-1291) que le terme allemand [3] – deutsche est apparu comme supplément auxiliaire : il a été élu roi romain-allemand – römisch-deutsche du Saint-Empire en 1273 jusqu’à sa mort, mais tentera en vain de se faire sacré empereur.
    A noter que les souverains du Saint-Empire sont d’abord élus comme roi, puis après une autre élection sacré empereur.
    La noblesse d’alors appartenait à la haute noblesse, issue des familles régnantes. Pourtant, le statut de nombreuses noblesses restait très flou ; la plupart des nobles avait le titre de comte, possédant un ou plusieurs comtés. Ils sont généralement connus depuis les Xe-XIIe siècles. Ils accroissaient leur pouvoir et territoire par mariage et par acquisition du plus grand nombre possible de comtés. Les duchés étaient constitués principalement de comtés, de bailliages et autres possessions terriennes.

    L’histoire de la noblesse du Saint-Empire - Adel des Heiligen römischen Reiches [4] débute le 10 janvier 1356 avec la promulgation par l’empereur Charles IV. de la Bulle d’or (Goldene Bulle) à la Diète de Nuremberg, puis le 25 décembre 1356 à la Diète de Metz. Cette loi fondamentale donne à l’institution du Saint-Empire sa forme définitive, jusqu’à sa dissolution en 1806 ; elle attribua aussi le choix du roi romain-allemand aux sept princes-électeurs - Kurfürsten. Rien n’indiquait comment se décidait son sacre comme empereur.

    Peu auparavant, l’empereur Ludwig IV a crée les armoiries bourgeoises – Bürgerwappen [5], dont l’empereur signe, ou son comte palatin de la Cour, les lettres d’armoiries - Wappenbrief en signe de reconnaissance envers des individus ou des familles. La plus ancienne de ces lettres date du 8 février 1338. Elle permettait au bourgeois de participer à des tournois, seul le casque les distinguait des nobles.

    Les heaumes (ou Helm) en usage dans les armoiries allemandes sont représentés ci-contre : le Topfhelm jusqu'au XIIIe siècle, le Kübelhelm au XIVe siècle, puis à partir du XVe siècle le Stechhelm pour les armoiries de la bourgeoisie et le Bügelhelm pour la noblesse.

    La noblesse impériale rassemblait l’ensemble des nobles ayant reçu un titre de noblesse - Adelstand de l'empereur du Saint-Empire, et qui conférait à ses membres, de nombreux privilèges ; à différencier de la noblesse médiate (ou noblesse ordinaire) qui, elle était subordonnée aux suzerains des différents États de l’empire. Les titres de noblesse du Saint-Empire (ou dit «noblesse impériale») sont mentionnés sur le tableau 1. De par le prestige de ces titres, ils avaient le privilège de préséance sur toute autre noblesse dans le Saint-Empire romain germanique ainsi qu’une voix au sein de la Diète d'Empire.
    À la fin du Moyen Âge, elle se scinde en haute noblesse - Hochadel et basse noblesse - Nieder Adel.

    Cette noblesse disparaît en 1806 avec la chute du Saint Empire romain de la Nation allemande. Elle a été reconnue et intégrée dans différentes noblesses européennes principalement en Autriche et en Allemagne, mais aussi en Belgique, en Italie, en Espagne et en France.

    Tableau 1. - Liste des titres de la noblesse du Saint-Empire. ** accès à la Diète d'Empire; * accès si souveraineté territoriale.

    Hiérarchie des titres

    Kaiser

    Empereur

    **

    König

    Roi

    **

    Erzherzog

    Archiduc

    **

    Kurfürst

    Prince électeur

    **

    Reichsfürst

    Prince du Saint- Empire

    *

    Reichsgraf

    Comte du Saint- Empire

    *

    Reichsfreiherr

    Baron du Saint- Empire

    *

    Reichsritter

    Chevalier impérial

    Edelfrei

    Noble libre du Saint-Empire

    Landmann von

    Noble sans titre

    Transmission des noms, titres et particule.

    Dans le Saint-Empire, la transmission est toujours déterminée par les lettres de noblesse – Adelstand, qui sont alors supérieures aux traditions locales ou régionales de succession. L'empereur avait le choix de donner les caractéristiques qu'il voulait aux titres qu'il accordait, ainsi que de donner des modalités précises de succession selon sa volonté et sans forcément tenir compte des coutumes locales. Ainsi on distingue principalement :

    • les titres concédés à titre personnel et non héréditaire. Le titre de l’anobli disparaîtra à sa mort, il n’y aura en principe pas de la particule von [6] dans son nom de famille qui représente habituellement un lien à une terre ou un fief. Il peut arriver que la famille et les héritiers d'un titre personnel se voient quand même octroyer le statut de « noble » et sont intégrés à la noblesse sans titre du Saint-Empire.

    • les titres concédés de façon héréditaire (ce qui était le plus souvent le cas), rien n'empêche plus tard au possesseur du titre, de l'associer au nom de leur terre en y ajoutant la particule von. Néanmoins, l’usage habituel de la particule von n’est apparu qu’au cours du début du XVIIIe siècle.
      Dans le cas d'un titre associé à un fief ou une terre, le fief revenait à l’aîné mais en cas d'absence d’héritier mâle, le fief pouvait éventuellement passer dans une branche féminine.

    Contrairement à la transmission des titres de noblesse en France, par ordre de primogéniture des mâles, les titres de noblesse du Saint-Empire étaient transmissibles à tous les membres de la famille noble, quel que soit l'ordre de naissance. En cas d’extinction de toutes les lignes masculines d’une maison, la succession passait généralement à l’aînée des filles de la ligne la plus proche du défunt et redevenait ensuite masculine dans la descendance de l’héritière qui reprenait souvent le nom et les armes de la maison éteinte.



    Notes :

    [1] Les souverains de l’Empire franc sont des nobles allemands, originaires de la tribu des Francs. Parmi les plus célèbres, Charlemagne et Hugues Capet, assimilés par les français comme appartenant à la noblesse française ! - voir ci-dessous.

    [2] Rudolf I. (1218-1291) est notre ancêtre direct (Sosa 10 034 378 - G24), comme son petit-fils Ludwig VI. der Bayer von Bayern (1282-1347), roi romain-allemand élu vers 1314 et sacré empereur du Saint Empire en 1327 (notre Sosa 2 508 594 – G22).

    [3] allemand est traduit en français comme en latin par germain, ce qui ne correspond à la réalité, mais politiquement plus acceptable pour les Français !

    [4] C’est la fin du XVe siècle que la dénomination devient Saint Empire romain de la Nation allemande (en France  - Heiliges Römisches Reich Deutscher Nation.

    [5] Il faudra attendre presque 400 ans pour la mise en place d’un écu de bourgeois par Louis XIV pour faire payer aux bourgeois une taxe sur leur écu !

    [6] L’usage généalogique est de ne pas traduire des noms et prénoms tels qu’ils sont écrits dans les actes originaux, ce qui oblige d’utiliser la seule particule von. Comme en France, la particule dans le Saint-Empire n'est pas une preuve d'appartenance à la noblesse, ni son absence pour prétendre l'inverse. Mais dans le cas d'un titre associé à une terre, elle était incontournable. Le "von" représentait une attache ancienne voire immémoriale à la terre, alors que le "zu" marquait un changement de terre ajouté au nom ou une acquisition récente. Dans un même titre on pouvait trouver ensemble "von" et "zu" pour montrer l'ancienneté de l'attache à une terre par rapport à une seconde.


    Références et Liens

    Bara, Hierosme de (1581). Le Blason des armoiries, auquel est monstrée la manière de laquelle les anciens & modernes ont usé en icelles. 247 p., Barthélemy, Lyon [Charlemagne : p. 163, 166].

    Bara, Hierosme de (1628). Le Blason des armoiries, auquel est monstrée la manière de laquelle les anciens & modernes ont usé en icelles. Édition revue et corrigée, 197 p., Rolet Boutonné, Paris [Charlemagne : p. 130, 132].

    Carolus-Barré L. (1955). Les armes de Charlemagne dans l'héraldique médiévale. Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 1952-1953, p. 46-47.

    Duhamelle C. (1999). Les noblesses du Saint-Empire du milieu du XVIe au milieu du XVIIIe siècle. Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 46 (1), p. 146-170.

    Hassler E. (2022). La vieille noblesse alsacienne, un Stiftsadel ? Revue d’Alsace, 148, p. 89-125.

    Puhle M. & C.P. Hasse (2006). Heiliges Römisches Reich Deutscher Nation 962 bis 1806 - von Otto dem Großen bis zum Ausgang des Mittelalters: 29. Ausstellung des Europarates in Magdeburg und Berlin und Landesausstellung Sachsen-Anhalt. Sandstein, Dresden. extrait.

    Wrede M. (2017). De la haute noblesse à la semi-noblesse. Formes d’existence nobiliaires en Europe au XVIIIe siècle, p. 47-68. In : Le Roux N. & Wrede M., Noblesse oblige : Identités et engagements aristocratiques à l’époque moderne. Presses universitaires de Rennes, http://books.openedition.org/pur/152597


    • Glossaire « Les Mots du Saint-Empire. https://saintempire.hypotheses.org/publications/glossaire - regards franco-allemands - aide à la recherche historique.

    • DHIA - Droit de l'Alsace (Saint Empire romain germanique. lnstitut d’Histoire d’Alsace, Université de Strasbourg

    Noblesse du Saint-Empire

    German nobility (Encyclopédie de Charles Cawley) - en anglais.


    Les armoiries de la noblesse et de la bourgeoisie du Saint-Empire ont fait l'objet de nombreux armoriaux.

    • Siebmacher's Wappenbücher (armoriaux) : Uni. Heidelberg - & - liste Wikipedia

    Rietstap J. B. (1884-1887). Armorial général ; précédé d'un Dictionnaire des termes du blason. Van Goor Zonn, Gouda, vol. 1, 2e éd. (1884), A-K, 1149 p. - & - vol. 2, 2e éd. (1887), L-Z, 1316 p.

    Armoiries des états immédiats du Saint-Empire

    • DHIA - Armoiries d'Alsace (Arma, Stemma, Stemmata, Wappen)

    A. de B. (Barthélémy Anatole) (1861). Armorial de la Généralité d'Alsace. Recueil officiel dressé par les ordres de Louis XIV et publié pour le première fois. Aubry, Paris, 449 p.

    Hozier C. R. d' (1700). Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696. Vol. 1. Haute et Basse Alsace, 812 p.

    Lehr R. (1870). L'Alsace noble - suivie de Le livre d'or du patriciat de Strasbourg, 3 vol., Berger-Levrault, Strasbourg : vol. 1, 526 p.


    Carte de l'Empire Franc sous le roi des Francs et empereur romain Karl I. der Große (747-814) [Charlemagne en français], fils du roi des Francs Pippin III. der Jüngere (714-768) [Pépin le Bref en français].
    Carte de l'Empire Franc en 834 lors du Traité de Verdun.

    Ci-dessous: la carte après la création du Saint-Empire en 962
    et celle du futur royaume de France


    Après le décès en 840 de l’empereur romain Ludwig I. den Frommen (778-840) [Louis Ier le Pieux], fils de l’empereur Karl I. den Große [Charlemagne], l’Empire Franc a été divisé par le Traité de Verdun du 10 août 834 entre les trois héritiers.

    • Le fils aîné, l’empereur romain Lothar I. (795-855) [Lothaire Ier], hérita du Mittelreich (Empire du milieu), nommé Lothars Reich [empire de Lothaire].
    • Son frère Ludwig II. den Deutschen (806-876) [Louis II l’Allemand] devint le roi du Ostfrankenreich [Empire Franc Oriental].
    • Et leur demi-frère Karl II. den Kahlen (823-877) [Charles II le Chauve] en héritant le Westfrankenreich [Empire Franc Occidental] en devint le roi, puis en 875 empereur romain.

    En 962, l’empereur Otto I. der Große (912-973) [Otton Ier le Grand] fonde le Saint-Empire Romain qui perdurera jusqu’en 1806.
    A la même époque, Hugo Capet (940-996) est élu roi du Westfrankenreich en 987. Il est issu de la lignée franque des Robertiens, descendants de la haute noblesse franque : il fut le fondateur des Karpetinger [Capétiens] à l’origine de la lignée agnatique des futurs rois de France, qui prendra fin en 1848. Son père est Hugo der Große et sa mère Hadwig von Sachsen, sœur de l’empereur Otto I. du Saint-Empire.


    D’après les actes, le premier roi de France Rex Franciae (et non Rex Francorum – roi des Francs) est Philippe Auguste (1165-1223), couronné à Reims en 1179. Il est probablement à l'origine des armoiries qui blasonnent jusqu'en 1376 : d’azur semé de fleurs de lys d’or.
    Il est notre ancêtre - Sosa à G 28 ci-dessous et voir Go.

    Origine de la fleur-de-lys comme meuble héraldique

    La fleur-de-lys est un meuble héraldique commun qui porte très mal son nom, car ce n'est pas un lys (Liliacée du genre Lillium **), mais un iris des marais ou iris jaune (Sumpf-Schwertlilie en allemand) stylisée (Iridacée du genre Iris), dont la hampe florale très graphique présente six folioles : trois pétales composant une corolle verticale et trois sépales recourbés vers l'extérieur pour le calice. Comme meuble héraldique, sa couleur est d'or ou d'argent. Si cette fleur est connue comme l'emblème de la royauté française, sa présence dans des armoiries n'implique pas un lien avec cette royauté.

    La fleur-de-lys apparaît dans des sceaux en usage dans le monde l'Empire Franc à la fin du règne du roi Franc Pippin der Jüngere (715-768), aussi Pippin III (en français, Pépin le Bref), et au début de celui de son fils Karl I. der Große (747-814) (en français, Charlemagne), futur empereur romain de l'Empire Franc. Le sceau de Hugo Capet, fondateur de la lignée des Capétiens, avait une couronne avec trois fleurs-de-lys.
    Rappelons que ni Pippin, ni Charlemagne, n'avaient d'armoiries, car leur usage n'est apparu qu'au XIIe siècle pour se répandre au siècle suivant.
    L'usage d'armoiries et leur attribution par l'empereur du Saint-Empire romain remontent à 1338. Elles étaient attestées par un Wappenbrief ou Wappendiplome (lettres ou diplôme d'armoiries), connus depuis 1338 et pour la noblesse un Adelstand (lettres de noblesse), connues depuis 1360. En effet, dès cette époque, la bourgeoise pouvait se faire attribuer ces lettres par l'Empereur, porter des armoiries et participer à des tournois.

    L'apparition de la fleur-de-lys en "France" a fait l'objet de diverses légendes, dont celle de la fleur-de-Lys reçue par la reine Chrodechild d'un ange et qui la donna à son époux Chlodwig I, roi mérovingien (un Salien allemand), connu en France sous Clovis Ier. Et il a plusieurs variantes à cette légende.

    Primitivement « armoiries de fantaisie » (imaginées), l'écu parti d'Empire et de France (ci-contre) est présenté et offert comme le symbole du rapprochement entre la France et l'Empire par Charles-Quint (1500-1558), lors de sa réception solennelle par François Ier, à Paris, le 1er janvier 1540.

    Blason dit de Charlemagne (p. 166 ) et texte correspondant (p. 163) - extrait en fac-similé du livre largement consacré à l'héraldique imaginaire de Hierosme de Bara (1581), intitulé Le Blason des armoiries, auquel est monstrée la manière de laquelle les anciens & modernes ont usé en icelles. 247 p., Barthélemy, Lyon.
      À droite, le blason dans l'édition de 1628 (p. 132, en fac-similé ), et, en-dessous, selon les codes actuels.

     

    Rappelons que Charlemagne a vécu plus de 700 ans auparavant !
    Et qu'il n'a jamais eu d'armoiries. - voir ci-dessus.

    ** NOTE : La vraie fleur de lys apparaît très tôt dans la Bible comme évocation traditionnelle du peuple d'Israël. Le terme hébreu Shoshannah,désignant le lys, a donné le prénom Susanna, Suzanne. Il est aussi symbole de pureté. Sous l'Empire romain, la fleur de lys avec ses six pétales était gravée sur les tombeaux juifs des catacombes et sa stylisation a abouti à l'étoile à six branches. Aujourd'hui, plus connu sous l'étoile de David, emblème du drapeau d'Israël. Néanmoins, cette étoile à six-branches est courante dans de nombreuses armoiries.


    Ascendants de Christian C. EMIG jusqu'à Hugo CAPET

    Générations

    n° SOSA

    1

    1

    Christian Charles Théodore EMIG

    2

    2

    Charles [Karl] EMIG 1909-1970

    3

    4

    Jean Charles EMIG 1865-1928

    4

    9

    Anne Marie WITTNER 1840-1933

    5

    19

    Anne Marie KESSEL 1815-1880

    6

    38

    Johann Conrad KESSEL 1787-1839

    7

    76

    Johann Jacob KESSEL 1745-1834

    8

    153

    Maria Salome BINDER 1711-1751

    9

    306

    Johann David BINDER 1672-1712

    10

    612

    Hans Heinrich BINDER 1646-1718

    11

    1 224

    Hans David BINDER 1611-1681

    12

    2 449

    Maria Magdalena WEYRICH ca 1585-1628

    13

    4 899

    Margaretha FEHR ca 1565-ca 1595

    14

    9 799

    Anna VOLLAND ca 1538-/1577

    15

    19 598

    Caspar VOLLAND ca 1500-ca 1554

    16

    39 196

    Philipp VOLLAND 1472-1537

    17

    78 393

    Elisabeth Antonia LYHER 1442-1490

    18

    156 787

    Antonia von DAGERSHEIM 1417

    19

    313 574

    Eberhard IV der Jüngere von WÜRTTEMBERG ,Comte 1388-1419

    20

    627 148

    Eberhard III der Milde von WÜRTTEMBERG, comte de Wurtemberg 1362/-1417

    21

    1 254 297

    Elisabeth von BAYERN, comtesse 1329-1402

    22

    2 508 595

    Margarethe 1. von HENNEGAU, comtesse, reine du Saint-Empire ca 1308-1356

    23

    5 017 191

    Jeanne de VALOIS 1294-1353

    24

    10 034 382

    Charles de VALOIS, comte 1270-1325

    25

    20 068 764

    Philippe III de FRANCE, roi de France 1245-1285

    26

    40 137 528

    Louis IX Saint Louis de FRANCE, roi de France 1214-1270

    27

    80 275 056

    Louis VillIe Lion de FRANCE 1187-1226

    28

    160 550 112

    Philippe II. Philippe Auguste de FRANCE, premier roi de France 1165-1223

    29

    321 100 224

    Louis VII. le Jeune 1120-1180

    30

    642 200 448

    Louis VI. le Gros ou le Batailleur 1081-1137

    31

    1 284 400 896

    Philippe I. 1052-1108

    32

    2 568 801 792

    Henri I. 1008-1060

    33

    5 137 603 584

    Robert II. le Pieux  972-1031

    34

    10 275 207 168

    Hugo CAPET ca 940-996

    suite de l'ascendance par les Robertiens, puis les Carolingiens


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