Nos Sosa comtes von Habsburg (originaire de Habsburg, Aargau, Suisse), ducs von Bayern
et comtes de Valois (Maison de Valois, descendants Capétiens)
C'est en poursuivant l'ascendance de la comtesse Elisabeth von Bayern (1329-1402), épouse d'Ulrich von Württemberg, que deux nouvelles lignées ancestrales sont apparues... et avec surprise ! D'une part, les Habsburg, aussi landgraves en Alsace, et la dynastie des Capétiens.

Fig. 1. - Ascendance de nos Sosa depuis la branche von Württemberg. Flèche rouge : notre descendance sur le tableau ci-dessous ; flèche bleue : ascendance directe des Capétiens.
A noter que, contrairement à l'allemand qui distingue entre l'empereur élu - traditionnellement appelé roi de Germanie jusqu'au XVe s., dès lors roi des Romains (= römisch-deutsche König) - et l'empereur couronné (= römisch-deutsche Kaiser), le français n'utilise usuellement que la seule dénomination d'empereur.
Origine et Armoiries von Habsburg
En Argovie (Aargau, Suisse), le château de Habsburg (nom du village éponyme où il se situe) donna son nom à la famille ; il fut construit vers 1020, probablement par Radbot (985-1045), comte im Klettgau, marié avec Ita von Lothringen (995-1035), ou son frère l'évêque Werner I. de Strasbourg (vers 977-1028). Les liens ancestraux restent douteux. Une possible descendance depuis une branche de la famille alsacienne franque Etichonide [de l’ancêtre Eticho / Adalric Ier, né en 635 au plateau de Langres - †20 février 690 au château de Hohenbourg, duc des Alamans, puis duc d'Alsace]. Il pourrait s’agir de l’étichone Guntram der Reiche († 973) selon les Acta Murensia, les Actes du monastère bénédictin de Muri, fondé par Radbot avec son épouse.
Fig. 2. - Château de Habsburg, sis à proximité de l'Aar (Fig. 4) : reconstitution au début de 1200, d'après © https://www.wynentaler-blatt.ch/ et Museum Aargau.
Fig. 3. - a. Les armoiries originelles des comtes von Habsburg blasonnent : D'or au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'azur. Cimier : casque couronné - avec deux têtes et cols de cygne d'argent, becqué de gueules, tenant chacun en son bec une bague d'or - ou avec le lion issant, orné le long de dos d'un crête échancrée d'or, ornée de plumes de paon (Schweizerische genealogisch-heraldische Webkatalog) ; c. Armoiries originelles représentées dans le Zürcher Wappenrolle (1340) ; le lion n'y est pas couronné ; c. Écu des armoiries von Habsburg ; d. Armoiries de l'empereur Rudolf I. (HRR) : D'or à l'aigle éployé de sable, becqué, membré du champ et langué de gueules, portant sur sa poitrine l'écu familial.
Le nom du château est probablement dérivé du mot ancien haut allemand hab ou haw qui signifie « traversée de rivière » ou gué : il s'agit de celui près d'Altenburg, où les bateaux naviguant en aval devaient accoster pour éviter les rapides qui suivaient. La circulation des bateaux pouvait être surveillée depuis le château (voir Onomastique).
C’est Otto II (fils ainé de Wermer I) qui, en 1108, devient le premier comte von Habsburg, dénommé Graf von Hauichsburch. La famille étend ses relations par mariage augmente ses possessions territoriales (voir carte), notamment en acquérant le landgraviat de Haute-Alsace.
Fig. 4. - Carte des possessions Habsburg et Kyburg au XIIe siècle.
Entre 1220 et 1230, ils quittent leur château familial et s'installent dans la ville voisine de Brugg. En 1239, Rudolf Ier de Habsbourg devient Landgrave de Haute Alsace.En 1273, il est élu empereur du Saint-Empire (HRR = Heiliges Römisches Reich) et a également pu hériter des comtes de Kyburg : il est issu du mariage d'Albrecht IV von Habsburg avec la comtesse Heilwig von Kyburg. A la mort de son père en croisade en 1239, il avait pris la direction exclusive de la ligne principale des Habsbourg. En août 1278, il réussit à vaincre le roi de Bohême Ottokar II à la bataille de Marchfeld et à conquérir les duchés d'Autriche et de Styrie. Ainsi le centre de la domination des Habsbourg s’est déplacé à Vienne (Autriche). Il est le premier d’une longue dynastie d’empereurs du Saint-Empire et d’Autriche (Maison princière de Habsbourg, jusqu’en 1918). Parmi ses enfants :
Son fils Albrecht I (1255-1308) devient en 1282 duc d' Autriche, de Styrie et de Krain, puis en 1298 il est élu empereur jusqu’à son assassinat le 1er mai 1308 à Königsfelden près de Brugg (Aargau, Suisse). À noter que la lignée des cousins von Neukyburg (voir ci-dessous) pourrait être à l'origine de l'assassinat
Sur ses ordres, le Habsburgisches Urbar (ou Rentier des Habsbourg) a été créé : c’est une liste des revenus fonciers et fiscaux des Habsbourg en Autriche antérieure, de leurs droits de justice et de leurs patronages, ainsi que de leurs droits aliénés ou donnés en gage, arrangés selon un ordre géographique.
L'expression Vorderösterreich (ou Autriche antérieure) est souvent utilisée comme synonyme de "pays antérieurs habsbourgeois" pour désigner l'ensemble des possessions des Habsbourg à l'ouest de l'Arlberg et du col de Fern, y compris les territoires sis en Suisse, Souabe, Brisgau et Alsace, par opposition à leurs biens d'Autriche proprement dite, jusqu'au Tyrol y compris. En Alsace, dans le Sundgau et au nord de la Suisse, ces régions englobaient les plus anciennes possessions de la maison de Habsbourg, complétées par l'héritage des Lenzburg et des Kyburg (1264).
Sa fille Mechthild (1252-1304) épouse en 1273 Ludwig II der Strenge (1229-1394), duc de Bavière (maison de Wittelsbach) et comte-palatin - ci-dessous.
Maison de Wittelsbach : les ducs de Bavière.
Ludwig II der Strenge (1229-1394), duc de Bavière (maison de Wittelsbach) et comte-palatin, est le fils aîné du duc Otto II. der Erlauchte (1206-1253) et d'Agnes von der Pfalz (1201-1267). De son mariage avec Mechthild von Habsburg est né Ludwig IV. der Bayer (vers 1284-1347), duc de Bavière, qui devient roi élu, puis empereur (HRR).
Mais il fut élu en 1314 avec le même nombre de voix que Friedrich der Schöne von Habsburg (1289-1330), un petit-fils de Rudolf I. von Habsburg, tout comme Ludwig IV. du côté maternel ; le Saint-Empire a deux rois élus : la légalité de l'élection ne sera résolu qu'en 1325, et le pourvoir tourna à l'avantage de Ludwig IV ; il fut couronné en 1328. Son opposition à la papauté, lui vaudra d'être définitivement excommunié en 1324.
Fig. 5. - À droite : armoiries originelles des ducs de Bavière (Maison de Wittelsbach) d'après Wapenboek Gelre - Fuselées en bande d'azur et d'argent. Cimier : un heaume de noblesse, issant une paire de cornes de buffle, fuselées d'azur et d'argent. À gauche : l'écu de l'empereur Ludwig IV, duc de Bavière.
En 1324, Ludwig IV épouse Margarethe von Hennegau [ou de Hainaut] (1328-1347), comtesse de Hainaut et de Hollande (terres du Saint-Empire) : elle est la fille de Wilhelm I. von Holland et de Jeanne de Valois. Leur fille Elisabeth (1329-1402) se marie en secondes noces, en 1362, avec Ulrich von Württemberg (1342-1388).
Note : La maison de Wittelsbach a été fondée par Otto I. de Scheyern (1117-1183). En 1180, ce dernier a reçu de l'empereur Friedrich I. dit Barberousse le duché de Bavière. Elle va régner sur la Bavière jusqu'en 1918.
Maison de Valois et dynastie des Capétiens
Jeanne de Valois (1291-1353) est la fille de Charles de Valois (1270-1325) qui est à l'origine de la Maison de Valois, et la nièce du roi de France Philippe IV le Bel (1268-1314) et Jeanne Ie de Navarre (1273-1305), reine de Navarre ; ses grands-parents sont le roi de France Philippe III le Hardi (1245-1285) et Isabel de Aragón (1247-1271) et ses arrière-grands-parents le roi Louis IX, mieux connu sous Saint-Louis, de la dynastie des Capétiens, issue de la noblesse franque, et Marguerite de Provence.
Frère cadet du roi, Charles de Valois, dit le Défenseur de l'Église, est le fondateur de la Maison de Valois, issue de la branche cadette de la dynastie capétienne. Il a eu en apanage les comtés de Valois, d'Alençon et du Perche, il fut roi d'Aragon (1284-1285) ; en 1290, il devint comte d'Anjou et du Maine et roi nominal de Sicile par son mariage avec Marguerite, fille aînée de Charles II d'Anjou ; puis, le dernier empereur latin de Constantinople par son second mariage, en 1301, avec Catherine de Courtenay (1274-1307), impératrice titulaire de Constantinople.
Fig. 6. - Blason de Charles de Valois (après 1297) : D'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure de gueules.
En 1308, suite à l’assassinat de l’empereur Albert I von Habsburg, Charles se porte candidat à l’élection d’empereur, encouragé par son frère le roi de France. Ce dernier, dès juin 1308, il envoie au Saint-Empire trois ambassadeurs auprès des princes électeurs, puis leur écrit pour recommander son frère, mais sans succès malgré diverses autres interventions. C’est le comte Heinrich von Luxemburg (1278-1313) qui est élu.
C’est la petite-fille de Charles, la comtesse Margarethe von Hennegau, fille de Jeanne de Valois, qui, en épousant en 1324 l’empereur Ludwig IV, deviendra reine du Saint-Empire lors du couronnement en 1328.
Philippe, fils de Charles de Valois et frère de Jeanne, devient roi de France sous le nom de Philippe VI dit le Fortuné ou le Catholique (1293-1350) ; il donne naissance à la lignée des rois de France de la Maison de Valois qui régna sur le royaume de France de 1328 à 1589, succédant aux Capétiens directs et précèdant les Bourbons.
Isabelle de Valois (1348-1372), fille du roi de France Jean II le Bon (1319-1364), petite-fille du roi Philippe VI (1239-1350), a épousé Gian Galeazzo Visconti (1351-1402), le premier duc de Milan (voir Famille Visconti ).
Leur fille Valentina Visconti (1368-1408) s'est mariée avec Louis d'Orléans (1372-1407, frère du roi de France Charles VI, tous deux fils du roi Charles V (1338-1380) et petit-fils de Jean le Bon.
Détails de notre descendance depuis les Habsburg, Bayern, Valois, Württemberg...
Tableau descendant de nos Sosa Habsburg, Bayern, Valois, Capétiens, Württemberg... G = génération - liste établie le 30 avril 2023.
Voir aussi nos Sosa Württemberg
 voir Fig. 1 et texte - vers HABSBURG - BAYERN - VALOIS et apparentés
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G
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 von BAYERN Ludwig IV (1262·1347) x  von HENNEGAU Margarethe (1308-1356)
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von WÜRTTEMBERG Ulrich (>1340-1388) x von BAYERN Elisabeth (1329·1402)
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20
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 von WÜRTTEMBERG Eberhard IV. (1388-1419)
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 von DAGERSHEIM Antonia (1417-)
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 LYHER Elisabeth Antonia (1442-1490)
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 VOLLAND Caspar (1500-1554)
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15
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 VOLLAND Anna (1538-<1577)
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 FEHR Margaretha (1565-~1595)
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 WEYRICH Maria Magdalena (~1585-1628)
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 BINDER Hans David (1611-1681)
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 BINDER Hans Heinrich (1646-1718)
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10
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 BINDER Johann David (1672-1712)
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 BINDER Maria Salome (1711-1751)
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 KESSEL Johann Jacob (1745-1834)
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 KESSEL Johann Conrad (1787-1839)
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 KESSEL Anne Marie (1815-1880)
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5
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 WITTNER Anne Marie (1840-1933)
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 EMIG Jean Charles (1865-1928)
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 EMIG Charles (1909-1970)
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EMIG Christian Charles Théodore (1941-)
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1
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[ Sosa de Christian Emig : et ]
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Les comtes von Dillingen - Kyburg et nos Sosa
Les comtes von Dillingen étaient une ancienne famille noble (hochadel) souabe, issue de la famille Hupalding, dont le siège ancestral était à Wittislingen (à une dizaine de km dans le NW de Dillingen an der Donau). C’est au IX-Xe siècle, qu’ils ont construit leur château à Dillingen dans la zone frontalière de la Bavière-Souabe. Durant tout le Haut Moyen Âge, elle avait pouvoir, prestige et influence sur toute la région.
Fig. 7. - À gauche : Sceau d'Hartmann I. von Dillingen (d'après Ganz, 1899). - Au centre : Armoiries von Dillingen (d'après St. Galler Wappenbuch, modifié). - À droite : Arbre généalogique descendant des Dillingen-Kyburg, avec leurs armoiries sucessives. Sur fond jaunâtre : nos Sosa. Arbre d'après Burlet (2015), modifié et simplifié.
Hartmann I. von Dillingen, en se mariant avec Adelheid von Winterthur, comtesse de Kyburg, hérite de ce comté et du titre. Ses armoiries blasonnent : d’azur à la bande d'or accompagnée quatre lions de même rampants (Fig. 7).
Les armoiries des comtes de Kyburg sont ensuite modifiées probablement par Ulrich III quand il a décidé de changer son nom von Dillingen, porté par son frère Adelbert III. gardant le titre de comte von Dillingen, pour celui de comte von Kyburg : c’est la séparation des deux lignées au sein de la maison de Dillingen, près le partage des biens. Les nouvelles armoiries blasonnent : de sable à la bande d'or accompagnée deux lions de même rampants - ci-contre selon la description dans le Clipearius Teutonicorum de Konrad von Mure (vers 1264).
La lignée mâle des Kyburg s'éteint en 1264 avec la mort d'Hartmann IV, son épouse est Marguerite de Savoie, sans descendance. Son neveu Hartmann V. der Jüngere von Kyburg (1229-1263) était décédé en 1263, sans fils ; son épouse en secondes noces est Elisabeth von Châlons (1254-1275), une descendante de l’empereur Friedrich I. Barbarossa et son frère fut le comte-palatin von Burgund (de Bourgogne). Par elle, son époux avait hérité du château de Lenzburg et de ses possessions (dont en 1273 hériteront les Habsburg). C'est vers 1250, que Hartmann V a modifié ses armoiries en substituant l'émail sable de l'écu par celui de gueules : de gueules à la bande d'or accompagnée deux lions de même rampants. Ci-contre - d'après St. Galler Wappenbuch.
En 1264, l'héritage Kyburg passa aux Habsburg : pour une part à l'empereur Rudolf I. von Habsburg (1216-1291 - Sosa 10034378 G 23), sa mère Hedwig, comtesse von Kyburg, étant une des héritières, et d'autre part, Eberhard von Habsbourg, neveu de l'empereur et époux d'Anna, comtesse von Kyburg (Fig. 7). Cette dernière lignée se nomme Neu-Kyburg (ou Kyburg-Burgdorf, ou Habsburg-Neukyburg) : créée en 1273, elle s'éteint en 1417. Elle pourrait être à l'origine de l'assassinat en 1308 de l'empereur Albrecht I. von Habsbourg, leur cousin.
L'incorporation des possessions des Kyburg dans la souveraineté habsbourgeoise, à partir de 1264, fut un des facteurs de la réussite et de l’avenir de la dynastie des Habsbourg.
Quant à la lignée des Dillingen, elle s’éteint en 1286 avec le décès du dernier héritier, l’évêque et comte Hartmann V von Dillingen. Après la mort de son frère Adalbert (1257) et de son père Hartmann IV (1258), il fait don de ses propriétés - château et ville de Dillingen - à l'évêché d'Augsbourg.
Références
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Zürcher Wappenrolle Schweizerisches Nationalmuseum, AG 2760, https://www.e-codices.unifr.ch/de/list/ one/snm/AG002760.
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