Mon grand-père Jean-Charles EMIG (1865-1928), viticulteur à Mittelwihr,
ma grand'mère Barbara Sturm et leur acte de mariage

14-18 dans l'armée allemande

Mes futurs parents Nelly (Cornélie) WOHLHÜTER et Charles EMIG

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Mariage Emig - Wohlhüter : Le Hohwald 1938


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1. Nadelhoffer Madeleine. 2. Wernly Leny. 3. Emig Jean-Jacques. 4. Nadelhoffer Georgette. 5. Schmidt Théo. 6. Werlin Marie née Greiner. 7. Baltzinger Salomé, née Sturm . 8. Werlin Mily (Emile). 9. Schürch Mitti. 10. Emig Katala (Catherine). 11. Bilger Ernest. 12. Wohlhüter Lory (Eleonore) (future épouse Bilger). 13. Orth Paul. 14. Nelly (Cornélie) ma future mère. 15. Charles mon futur père. 16. Kohler Gaby, née Schmidt.17. Schwander (un collègue et ami de mon père). 18. Werlin Annie (fille 6-8). 19. Baltzinger Adolphe (mon futur parrain, fils 20). 20. Baltzinger Albert (père de 19, cousin 15). 24. Sturm Barbara (ma future grand-mère paternelle, tante 20). 22. Wohlhüter Théodore (père 14). 23. Schürch Martha (épouse 22; mère 14). 24. Emig Eugène (demi-frère 15; futur parrain j'en avais deux). 25. Wohlhüter-Schmidt Berthe (mère 5). 26. Hüser x. 27. Baltzinger Richard (fils 20).

Charles EMIG en 1970 (1909-1970)

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De l'éducation protestante reçue, cette devise protestante

"Liberté et Responsabilité"

avec un regard critique sur soi, sur le monde, sur sa propre foi.

De la Confirmation, 22 mai 1955 à Colmar, ces versets (Colossiens 2 : 3 ; Hebreux 10 : 7) écrit par le pasteur J. Wolff dans ma Bible

"En Christ sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la science."
"Me voici, je viens, ô mon Dieu; je prends plaisir à faire ta volonté."

Du mariage avec Anne Bouisson, 6 septembre 1965 au Hohwald, ce verset (2 Tim. 1: 7) écrit par mon oncle (qui nous maria), le pasteur Ernest Bilger, dans la Bible familiale :

"Ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné,
mais un esprit de force, d'amour et de sagesse." (2 Tim. 1: 7)

Christian EMIG en 1942 et en 2007
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En 1943, dans les bras de mon parrain Adolphe Baltzinger (1922-1987), sur le perron de la maison au 5, rue Gustave Berger (Colmar). Cette maison sera traversée par un obus en 1945, obligeant mes parents à déménager, au 30 rue des Vignes, où j'ai vécu jusqu'à mon départ pour Marseille en septembre 1962.
Mon parrain lui sera mobilisé en 1943 dans la Wehrmacht, comme "malgré-nous", il échappera à l'envoi au front russe et reviendra chez ses parents en 1946. Devenu professeur, il est nommé à Grenoble. Suite à une discussion sur les "malgré-nous", il fait face à l'incompréhension et à l'impossibilité d'expliquer la situation des alsaciens et de leur passé, il a décidé de ne plus jamais évoquer le cas. Je ne l'ai appris que récemment lors d'une visite à Grenoble chez Paule (1923-2023), son épouse.

En 1947, Rosemarie, Christian et notre maman Nelly.