Famille Emig - Bouisson

Cousinages illustres : le sculpteur Auguste Bartholdi, créateur de la statue de Liberté (NY, USA)

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Frédéric Auguste BARTHOLDI (1834-1904) **



      Sommaire

➔   1. - Courte biographie
➔   2. - Ses œuvres
➔   3. - Ascendance et nos relations familiales
➔   4. - Généalogie des Bartholdi
➔   5. - Références
➔   6. - Nos ancêtre communs
➔   7. - Ascendance avec le prince Philip, époux de la reine Elizabeth II

1. -  Courte Biographie

Il est né le 2 août 1834 à Colmar dans une famille protestante (luthérienne) - fils de Jean Charles Bartholdi (1791-1836), conseiller de préfecture, et d’Augusta Charlotte, née Beysser (1801-1891), fille d'un maire de Ribeauvillé. À la mort prématurée de son père en 1836, sa mère, de condition aisée, décide d'aller vivre à Paris, tout en conservant la demeure familiale du 30, Rue des Marchands, qui abrite, depuis 1922, le musée Bartholdi (ce vaste hôtel particulier datant du XVIIIe siècle a été légué en 1907 par Jeanne Emélie Baheux [de Puysieux], veuve Bartholdi, à la ville de Colmar [ go ]).
En allant s'installer à Paris, Charlotte rejoignait aussi l'oncle de son mari, Jacob Friedrich Bartholdi (1763-1844) et ses deux seuls cousins germains, Marie Elisabeth (1788-1858), épouse de Sigismund von Berckheim, puis d'Adolphe de Boubers-Abbeville, et Jean Frédéric (1794-1839), époux de la comtesse Louise Catherine Walther, tous à Paris.

Quelques pages à lire pour approfondir la biographie sur quelques points familiaux orginaux, voire méconnus :

À Paris, après son baccalauréat en 1852 au lycée Louis-le-Grand, Auguste étudie l'architecture à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts, ainsi que la peinture sous la direction d'Ary Scheffer dans son atelier de la rue Chaptal. Il se lie d'amitié avec le strasbourgeois Eugène Dock, luthérien comme lui, futur sculpteur-statuaire et dessinateur ; c'est avec lui qu'il partage un atelier à Courbevoie lors de ses années d’étude à l’Ecole des Beaux-Arts. Leur complicité durera, y compris avec les épouses, toute leur vie. Puis, Auguste s'installe dans son premier atelier à Paris ; son premier monument en 1853 est dédié au général Rapp de Colmar, inauguré en 1856.
Pendant la guerre franco-allemande de 1870, chef d'escadron des gardes nationales, il est aide de camp du général Giuseppe Garibaldi et agent de liaison du gouvernement, particulièrement chargé de s'occuper des besoins de l'armée des Vosges. Le 25 mars 1872, il a opté pour la nationalité française dans la mairie du VIe arrondissement de Paris.

En 1871, à la demande d'Édouard Lefebvre de Laboulaye (dont Bartholdi a réalisé un buste en 1866) et de l'union franco-américaine, il effectue son premier voyage aux États-Unis pour sélectionner en personne le site où sera installée la Statue de la Liberté. C'est le début de sa carrière internationale, un des sculpteurs les plus célèbres du XIXe siècle en Europe et en Amérique du Nord.
Franc-maçon depuis 1875, il adhéra à la Loge Alsace-Lorraine à Paris. C'est à partir de cette date qu'il commence la construction de la statue de la Liberté dans ses ateliers parisiens, rue Vavin, où il habite. En 1876, au cours d'un voyage aux USA, il conclut un mariage « rocambolesque » avec une modiste, Jeanne Emélie Baheux (dite de Puysieux), née à Bar-le-Duc en Lorraine, à l'hôtel de ville de Newport (Rhodes Island, USA) : mariage civil le 15 décembre, et, mariage religieux protestant par le pasteur Charles I. Brooks le 20 décembre 1876. Leur mariage sera heureux mais sans enfants. Emilie se convertit au protestantisme.

La statue de la Liberté serait à l’effigie de son épouse Emélie, mais ce n'est qu'une des nombreuses hypothèses !

Victor Hugo dédiait en 1885 ces mots au concepteur de la Liberté éclairant le monde : « La forme, au statuaire, n’est rien sans l’esprit.» Auguste Bartholdi effectuera son dernier voyage aux États-Unis pour l'inauguration, le 28 octobre 1886, de la statue à New-York. La même année, il est promu au grade de commandeur de la Légion d'honneur, la décoration lui a été remise par Ferdinand de Lesseps. C'est au 82, rue d'Assas, Paris 6e, qu'il meurt le 4 octobre 1904, il a 70 ans, de la tuberculose et sa veuve Emilie y décède le 10 octobre 1914. Ils sont tous deux enterrés par leur ami, le pasteur J. E. Roberty, au cimetière de Montparnasse (Paris 14e), respectivement le 7 octobre 1904 et le 16 octobre 1914 (après une cérémonie au temple de l'Oratoire du Louvre, présidée par le pasteur Jules-Emile Roberty). La stèle du caveau Bartholdi est une de ses dernières œuvres. Pour en savoir plus... sur la tombe et sur son testament et le legs de sa veuve...

Auguste Bartholdi et son épouse Emilie, née Baheux
(photo de B. J. Falk de Brooklin, New-York, 1885)
- collection F. Fourmanoir -

Comprendre les relations entre Auguste et sa mère, ne peut se faire que dans le cadre des familles bourgeoises luthériennes d'Alsace et de leur histoire séculaire dans le Saint-Empire, totalement méconnue par les Français "de l'intérieur". Pas de doute qu'Emilie a eu la grande intelligence de comprendre la spécificité alsacienne de son mari et, comme veuve, l'a magnifiée en souvenir de son célèbre époux. Son legs de la maison familiale pour la création du Musée Bartholdi en atteste comme de attachement à la pérennité protestante. N'en déplaise à sa famille catholique !


2. -  Ses Œuvres

Il a crée plus de 35 monuments de par le monde (voir liste ci-dessous). Mais ici, je ne retiendrai surtout ceux qui ont marqué ma jeunesse colmarienne avec une scolarité faite au lycée... Bartholdi ! Pas un jour sans passer devant une des œuvres d'Auguste Bartholdi. Certains monuments sont aussi visibles dans le Diaporama sur Colmar.

 

À Colmar (68)

Emig C. C., 2019. Statue du général Jean Rapp par Auguste Bartholdi : liens de parenté entre le sculpteur et le général. CdM Création, Marseille, 7 p.  >  pdf
Nos recherches généalogiques en septembre 2019 ont conduit à trouver un oncle commun au général Rapp et au sculpteur Auguste Bartholdi dont la première oeuvre public fut la statue de Rapp à Colmar : il s'agit du général d'Empire Johann Georg von Edighoffen, dit Jean Georges Edighoffen... voir aussi go

  • la statue de Martin Schongauer (1450-1491) devant le Musée Unterlinden (1863) [3-go] - [fig. ci-contre]

  • le monument de l’amiral Armand Joseph Bruat (1796-1855) au Champ-de-Mars (1864), détruit par les Allemands en septembre 1940, remis en place en 1958 ; il représente l'amiral flanqué de quatres figures allégoriques reprsentant les continents Asie, Afrique, Océanie, Amérique, parcourus par l'amiral [4-go] - [fig.1, fig.2, fig.3]

  • le Génie funèbre, bronze de 1866 dans l'escalier du lycée Bartholdi [5-go]

  • le petit vigneron alsacien (Musée Bartholdi, Colmar) (1869), copie au marché couvert, angle rue des Vignerons et rue des Écoles [6-go] - [fig. ci-contre] - une statue que je regarde toujours avec émotion car elle me rappelle le temps des vendanges dans les vignes ancestrales avec le loyala de mon oncle Eugène Emig, viticulteur à Mittelwihr.
    Loyala (en alsacien) = petit tonneau portatif en chêne que les vignerons utilisaient dans les vignes après l’avoir rempli de vin ou de liqueur pour se désaltérer.

  • Morts en combattant 14 sept 1870 (1872) [- go] - Monument funéraire des Gardes nationaux tombés en 1870, cimeti¸re du Ladhof, Colmar.

  • le mystère d'Isis, une terre cuite (1874) au Musée Bartholdi (Colmar), une oeuvre à secret. Cette oeuvre doit être interprétée comme un rituel d'initiation maçonnique, celui de l'entrée en loge de Bartholdi lui-même en 1875, et qui fut "consubstancielle" avec la création de l'Union Franco-Américaine (1874) et le projet de la Statue de la Liberté [7-go - et - Détail-go]

  • la fontaine représente le prévôt Jean Roesselmann, qui perdit la vie en défendant Colmar à la Porte de Bâle contre les convoitises de l'évêque de Strasbourg en 1262, située place des Six Montagnes Noires (1888) [8-go]

  • la statue de Gustave-Adolphe Hirn (1815-1890), située boulevard du général Leclerc à Colmar, dans le square Hirn (1890), à côté du lycée Bartholdi [9-go] - [fig. ci-contre]

  • la fontaine Schwendi, dédiée au baron Lazare de Schwendi (1522-1583) sur la place de l'Ancienne-Douane (1898) - un chef de guerre de l'empire et seigneur du Hohlandsbourg qui introduit en Alsace le cépage Tokay, rapporté de Hongrie (aujourd'hui nommé Pinot gris) [10-go] - [fig.1]

  • la statue des grands soutiens du Monde, présentée au salon de Paris en 1902 et installée en 1909 dans la cour du musée Bartholdi [11-go]

  • la statue du tonnelier alsacien au sommet de la Maison des Têtes (restaurant), 19, Rue des Têtes, 1901 et installée en 1902 [12-go] - [fig.1] et plus go

À Belfort (90)

  • le Lion de Belfort (1880) [13-go] - cette statue avait impressionnée mon père au cours de son service militaire et nous sommes allé la voir lors d'une des premières sorties avec la première voiture au début des années 1950. - [fig. ci-contre] - Voir le cousinage entre le sculpteur et le Lion de Belfort, surnom de Pierre Denfert-Rochereaugo...

À Birr (Aargau, Suisse)

  • le monument aux 22 soldats français de l'armée de Bourbaki, morts à Schinznach-Bad en 1871 (1883) [14-go]

À New-York (USA)

  • la statue de la Liberté "Liberté éclairant le monde" (1886) [15a-go - 15b-go] - j'ai la chance de survoler la statue lors de mon premier atterrissage aux USA en 1975, à New-York. - [fig. ci-contre] - et plus... go

À Lyon (69)

  • la fontaine de la place des Terreaux (1892) [16-go]

À Paris (75)

  • le tombeau du couple Auguste Bartholdi au cimetière du Montparnasse à Paris. [17-go]

À Marseille (13) : le rejet du projet de Bartholdi pour le palais Longchamp
a conduit à des procès...
[ avec des extraits du Dossier 9M7 des Archives Municipales de Marseille go ]

et la création du Prix du Palais Longchamp go

D'autres liens...

  • Auguste Bartholdi
  • Biographie (Musée Bartholdi)
  • Biographie d'Auguste Bartholdi (CRDP)
  • Biographie Bartholdi
  • Repères chronologiques
  • Quelques photos familiales...
  • Musée Bartholdi (Colmar - ouvert en 1922)
  • Quelques monuments d'Auguste Bartholdi
  • Bibliographie sur A. Bartholdi - CNDP du Haut-Rhin
  • Archi-Wiki (Strasbourg) : musée Bartholdi

  • ... et Références en bas de page go

    Des vidéos...

     



    Le tombeau d’Auguste Bartholdi
    au cimetière du Montparnasse à Paris.

    Le décor de la tombe a été réalisé par Bartholdi lui-même, une œuvre rarement citée. L'obélisque de porphyre rouge porte l'inscription : "Auteur du Lion de Belfort et de la Statue de la Liberté éclairant le Monde". Il est surmonté d'un ange prenant son envol et décoré d'un médaillon en bronze avec les profils droits d’Auguste Bartholdi au premier plan et de sa femme, Jeanne Emélie Baheux (dite de Puysieux), enterrée avec lui (ci-dessous : œuvre du sculpteur Auguste Eugène Rubin (1841-1909), élève et ami des Bartholdi - daté de 1905 avec l'inscription "à mes amis Bartholdi " A. Rubin). Et plus...go


    3. -  Ascendance d'Auguste Bartholdi et nos relations familiales

    **  La révélation de mon cousinage, je la dois à Bernard IMER qui, au printemps 2013, m'a envoyé un fichier de 136 p. sur la généalogie de la famille Greiner comprenant plusieurs de mes ancêtres. Compulsant ce document, je tombe sur le patronyme BARTHOLDI et en une fraction de seconde vient la réflexion "et si je cousinais avec Auguste BARTHOLDI, colmarien et protestant comme moi" ! Ce fut le début de mes recherches généalogiques sur nos liens possibles. Je remercie Michel ITTEL (membre de l’Association d’Archéologie et d’Histoire de Horbourg-Wihr) et Richard SCHMIDT (membre du Cercle Généalogique d’Alsace) qui m’ont transmis leurs données permettant de bien compléter les miennes.

    Les résultats complets sont disponibles sur Geneanet :

        * Généalogie Bartholdi go
        * Généalogie Emig go
        * Généalogie Greiner go

      Note sur la généalogie alsacienne et ses différences avec la française - Emig (2021) go - se rappeler que le prénom usuel est le dernier des prénoms !



      << Ascendance directe d'Auguste Bartholdi. à droite, les petites feuilles indiquent nos ancêtres communs apparaissant sur cet arbre.

      < < Cliquez sur l'arbre pour l'agrandir



      * Liste des ascendants d'Auguste Bartholdi - à télécharger en

      * Liste des ancêtres communs Bartholdi - Emig : voir ci-dessous.


      Colmarien de naissance, j'ai fait mes études secondaires au lycée Bartholdi avant d'aller à l'Université de Strasbourg, puis à celle d'Aix-Marseille. Dans ma jeunesse, Bartholdi était présent à travers les oeuvres réparties dans divers lieux à Colmar, dont le Génie funèbre et la Statue Hirn que j'ai cotoyés pendant des années au lycée ! Celle qui était le plus souvent évoquée était le monument Bruat : détruit en 1940 par les allemands et dont tout Colmar attendait la restauration qui aura lieu en 1958. L'histoire veut que la tête de l'Africain (d'une des quatre satues) fut à l'origine de la vocation de médecin de brousse d'Albert Schweitzer, un autre de mes cousins go.

      A l'époque, le lycée public Bartholdi était un établissement prestigieux avec un enseignement fait par des professeurs agrégés. J'étais alors loin de me douter des relations familiales avec le sculpteur Bartholdi. Parmi mes professeurs Français-Latin, dans les années 1950, il y avait Marie-Joseph BOPP (voir Références ci-dessous) qui portait les cheveux longs et une lavallière, utilisait un stylo à encre verte et nous faisait lire le latin selon le rythme um-pa-pa - sa nécrologie par Wilsdorf (1975).



    4. -  Généalogie des Bartholdi

    Les origines familiales sont rarement évoquées dans ses nombreuses biographies, probablement parce que méconnues. Veit Barthold (qui deviendra ultérieurement Bartholdi) est né vers 1578 à Monheim am Rhein (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), situé entre Düsseldorf et Cologne en Allemagne. Après des études de théologie, il devient diacre à Heideck (Bavière) et se marie en 1600 avec Walburga Döderle à Weißenburg im Nordgau (aujourd’hui Weißenburg in Bayern ; Fig. 2). Puis, il est nommé pasteur luthérien à Aberzhausen (canton de Heideck) à une vingtaine de km de Weissenburg (Romane-Musculus, 1967). Trois enfants y naîtront. Arbre de descendance

    Lieux en Allemagne et en Alsace concernant la famille Bartholdi (étoile) et apparentés (disque).

    Le cadet, Veit Bartholdi le jeune (1608-1671) devient tailleur à Francfort-sur-le-Main ; il épouse Anna Margaretha Heck (1610-1666) et ils auront 9 enfants. Selon les recherches faites par Michel Ittel (Horbourg), son fils Wilhelm Bartholdi (Barthold ou Bertoldt), né en 1637 à Francfort-sur-le-Main (décédé vers 1690), fut le 6e pasteur de la commune luthérienne d’Höringhausen, de 1664 à 1683. Destitué en 1683, il devint « Adjunkt » de son beau-père Gerlach Welcker, pasteur luthérien à Oberhörlen, à environ 80 km dans le SW de Höringhausen.

    A cette époque, la région de Francfort (Hesse du Sud) était luthériennne, alors que celle de Kassel (Hesse du Nord) était réformée d'obédience zwinglianiste. Or, Höringhausen se situait à la limite de ces deux régions. Le changement de seigneurie de ce village entraina le passage à la religion réformée avec le renvoi du pasteur luthérien. Wilhelm et son épouse Anna Catharina Welcker (1645->1690) auront 8 enfants. Deux de ces enfants sont partis s’installer en Alsace : l’arrière-arrière-grand-père du sculpteur, Johann Georg Bartholdi (1673-1733), y est venu comme pasteur, d’abord à Soultz-sous-Forêts, puis à Wissembourg. Il était accompagné par son frère Hans Adam (1684-1734).

    1 - Hans Adam Bartholdi, chirurgien et « Kirchschaffner » (receveur des revenus ecclésiastiques), est né le 31 juillet 1684 à Oberhörlen et décédé le 2 décembre 1734 à Soultz-sous-Forêts. Il épouse en premières noces Anna Maria Seger qui décède le 3 août 1725 à Soultz-sous-Forêts, avec 8 enfants ; ensuite, il se remarie avec Maria Elisabeth Brückner (~1706-1735), avec 4 enfants. Elle meurt en couches d’un enfant mâle, posthume à son père, le 14 mars 1735 à Soultz-sous-Forêts.

    2 - Johann Georg Bartholdi, pasteur, est né vers 1673 à Höringhausen et décédé le 7 juillet 1733 à Wissembourg. Il fait ses études de théologie à Strasbourg et devient pasteur à Soultz-sous-Forêts de 1707 à 1713, puis à Wissembourg de 1713 à 1733. Il se marie le 7 août 1703 à Wissembourg avec Maria Margaretha Schönlaub (1654-1711), dont il est le troisième époux ; elle est originaire de Landau in Pfalz (Fig. 2) et décède à Soultz-sous-Forêts le 12 avril 1711. Ensuite, il se remarie le 12 janvier 1712 à Wissembourg avec Maria Dorothea Boell ou Böll(1691-1737), fille de Johann Caspar Boell (~1643-1711) [4] et d'Eva Magdalena Lehr. 8 enfants naissent, tous à  Wissembourg. Lire la suite...

    Et plus sur les généalogies d'Auguste Bartholdi et d'Emilie Baheux, et de leurs familles proches go

    Nota : L'origine du nom est Berthold devenu Bartholdi en Alsace. Il est connu dès le Xe siècle dans le Nord de l'Allemagne (en Prusse) et il en existe de nombreuses variations patronymiques, comme Berchthold, Barthold, Bartholdt, Bartoldi, Bartholdy, Bartholdie, Bartheld.


    5. -  Références

    Armand E. (~1887). Bartholdi. Les hommes d'aujourd'hui, vol. 6 (n° 305), 4 p., Vanier, Paris.  

    Belot R. (2016). Bartholdi: Portrait intime du sculpteur. ID Edition, Bernardswiller, 151 p.

    Berenson E. (2012). La statue de la Liberté: Histoire d'une icône franco-américaine. Colin, Paris, 272 p.

    Betz J. (1954). Bartholdi. Editions de Minuit, Paris, 287 p.

    Bopp M.-J. (1959). Die evangelischen Geistlichen und Theologen in Elsass und Lothringen von der Reformation bis zur Gegenwart. Degener Verlag, Neustadt a d. Aisch, 709 p.

    Brauer A. (1983). Die Patrizierfamilie Boell aus Weissenburg im Unterelsaß (Wissembourg, Dept. Bas-Rhin). Ahnen des Hauses Mountbatten und des großen französischen Bildhauers Auguste Bartholdi, des Schöpfers der "Liberty"-Statue im Hafen von New York. Archiv für Sippenforschung, 49, p. 265-280.

    CRDP (Centre départemental de documentation pédagogique) du Haut-Rhin, consulté en octobre 2021 sur Auguste Bartholdi, dont :
    Liste bibliographique alsacienne sur le sculpeur A. Bartholdi   -  
    Liste complète, chronologique, de ses œuvres   -  

    Dufieux P. (2021). Républicanisme, maçonnerie et libre pensée : la Liberté de Bartholdi à Roybon. Sculpture. Études sur la sculpture du XIXe siècle à aujourd’hui, Presses universitaires de Rouen et du Havre, p. 1-23.

    Eilers R. (1985). Die Vorfahren des Historikers Johann Daniel Schoepflin (1694-1771). Bulletin du Cercle généalogique d’Alsace, 70, p. 471-473.  

    Eilers R. & C. Wolff (2014). L'ascendance d'Auguste Bartholdi (1834-1904). Bulletin du Cercle généalogique d'Alsace, 186, p. 416-430 [paru 25 septembre]  [*]

    Emig C. C. (2014). Les ascendances du célèbre sculpteur colmarien Auguste Bartholdi. Nouveaux eCrits scientifiques, NeCs_01-2014, p. 1-30.  

    Emig C. C. (2021). De la généalogie protestante en Alsace... quelques remarques et conseils. Nouveaux eCrits scientifiques, NeCs_01-2021, p. 1-10 [2e édition].

    Flety A.M.C. (2004). Madame Frédéric-Auguste Bartholdi née Jeanne Emilie Baheux de Puysieux. Mythe et Réalité. Revue Généalogie Lorraine, 133, p. 4-8.

    Gschaedler A. (1992). Vérité sur la Statue de la Liberté et son Créateur. Do Bentzinger, Colmar, 197 p. - [  d'après un article dans Réforme de Gschaedler A. : Auguste Bartholdi, "ma fille Liberté"].

    Ittel M. (2014). http://gw.geneanet.org/ittelm, consulté le 20 octobre 2014.

    Kühlmann J. B. (1849). Georges-Charles Bartholdy [Charles Bartholdi] Bartholdy d'Oberbronn ..., ancien professeur de chimie, ancien maire de la ville de Munster. Colmar.

    Langenbeck F. [Pfarrer] (1950). Die evangelischen Geistlichen des jetzigen Kirchenkreises des Eisenbergs seit der Reformation. Geschichtsblätter für Waldeck (Waldeckischer Geschichtsverein, Arolsen), 42 (3), p. 124.

    Roberty J. E. (1926). Le pasteur J. E. (29 octobre 1856-22 novembre 1925) : discours prononcés à ses obsèques, le 25 novembre 1925. Société anonyme d'imprimerie montbéliardaise, Montbéliard, 52 p.

    Romane-Musculus P. [pasteur] (1967). Généalogie Bartholdi. Annuaire de la Société historique et littéraire de Colmar, 17, p. 95-106.

    Romane-Musculus P. (1976). Le sculpteur Bartholdi et les États-Unis. Bulletin de la Société de l’Histoire du Protestantisme français, 122, 200-202.

    Schmitt J. M. (1986). Bartholdi - Une certaine idée de la liberté. Éditions Nuée-Bleue - D.N.A., Strasbourg, 319 p.

    Ville de Colmar (2003). Agenda 2004. Bartholdi, le Colmarien qui éclaira le monde, 144 p.  

    Wilsdorf C. (1975). In-memoriam : Marie-Joseph Bopp - 1893 - 1972. Annuaire de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Colmar, 24, 203-205 .


    [*] Divers articles sur Bartholdi ont été publiés dans ce bulletin. Malheureusement, il n'y a ni tirés-à-part, ni pdf disponibles des articles, ni possibilité de commande au numéro - le site WEB du Cercle généalogique d'Alsace précisant : Commande d’anciens bulletins : Il est possible de commander des bulletins anciens à des prix très intéressants, la seule condition étant de venir retirer la commande au secrétariat (sis à Strasbourg !).


    6. -  Nos ancêtres communs [Liste établie le 26 mai 2021]

    EMIG Christian et BARTHOLDI Auguste partagent 51 ancêtres directs :

    • BERGER Daniel (1643-1728)
    • BERGER Georg (-~1591)
    • BERGER Oswald (~1606-1659)
    • BIRCKEL Catharina (-1600)
    • BIRR Hans Conrad (1585-~1634)
    • BIRR Martin (1540-1600)
    • DUMLER Sigismund (1605-~1663)
    • FUESS X
    • GOLL Anatasia (1614-1659)
    • GREINER Bernhard (1642-1702)
    • GRETSCHER Martha Anna (1584-1683)
    • GRETSCHER Michael (-1595)
    • GNTZER Maria (1558-1616)
    • GUTKIND Anna Maria (1605-1683)
    • HAUTMANN Katharina (< 1540-< 1605)5)
    • KEGEL Catharina
    • KEGEL Dorothea (-1598)
    • KLEIN Susanna (1566-1616)
    • KLINGEL Anna Maria (~1610-1682)
    • KLINGEL Gregori (1560-1631)
    • KLINGEL Ursula (1602-1682)
    • KOPP Agatha (-1610)
    • KÜCHEL Benjamin (1620-1676)
    • KÜCHEL Thöny (-< 1587)
    • LEIB Samuel (~1584-1647)
    • LIEBMANN Appolonia (~1544-1593)
    • MAURER Walburg (~ 1554-~ 1640)
    • MEYER Cécile (< 1555-> 1619)
    • ORTLIEB Diebold (-~1628)
    • ORTLIEB Pauly (~1599-1664)
    • ORTLIEB Theobald (~1520-~1592)
    • RIEFFEL Maria (1588-)
    • ROSENBERGER Kunegonda (~1560-)
    • SCHERER Salome
    • SCHUHLER Mathias (1541-1629)
    • SCHULER Ursula (1643-1686)
    • SPECHT Margaretha (<1567-)
    • UMBDENSTOCK Anna Maria (~1628-1697)
    • UMBDENSTOCK Elisabeth (-~1667) (**)
    • UMBDENSTOCK Melchior (1533-1605)
    • UMBDENSTOCK Ulrich (~ 1595-~1645)
    • UTZMANN Johann Conrad (1638-1718)
    • VOGEL Hans (~1540-1601)
    • VOGEL Margaretha (1645-1675)
    • VOGEL Nicolaus (~1560-<1618)
    • VOGEL Stephan
    • VOGLER Hans (1540-1601)
    • von NAESCHENHEIM Maria (-1633)
    • von PETERSHOLTZ Heinrich (1510-1578)
    • von ULM Barbara (-~1558)
    • WETZEL Clewin (1340->1373)
    • X Clara (J ~ 1510-J > 1578)

    EMIG Christian et BARTHOLDI Auguste sont parents à 6-12 générations

    Autre lien de parenté :

      EMIG Christian est
    • le petit-fils du conjoint de la petite-fille du conjoint de l'arrière-petite-fille de la grand-tante de la mère
    • le petit-fils du conjoint de la petite-fille du conjoint de l'arrière-petite-fille du beau-père du neveu de l'arrière-grand-mère
    • le petit-fils du conjoint de la petite-fille du conjoint de l'arrière-petite-fille du conjoint de la petite cousine de l'arrière-arrière-grand-mère
    • de BARTHOLDI Auguste

    Détail de l'ancêtre commun (**)

     UMBDENSTOCK Elisabeth (-~ 1667)
     UTZMANN Johann Conrad (1638-1718)
     UTZMANN Anna Maria (-1717)  UTZMANN Hans Martin (1665-1748)
     STURM Andreas (1703-1737)  UTZMANN Johannes (~ 1697-1746)
     STURM Michael Friedrich (1726-1788)  UTZMANN Anna Maria (1735-1813)
     STURM Jean Andreas (1759-1827)  GRAFF Johanna Catharina Margaretha (1765-1825)
     STURM Jean Jacques (1795-1864)  BEYSSER Augusta Charlotte (1801-1891)
     STURM Georges (1839-1922)  BARTHOLDI Frédéric Auguste (1834-1904)
     STURM Barbara (1878-1942)  

     EMIG Charles (1909-1970)

     

     EMIG Christian Charles Théodore (1941-)

     

     


    La liste d'ascendance d'Auguste Bartholdi et nos ancêtres communs est téléchargeable en PDF
    - établie le 23 octobre 2014 -


     

    Ribeauvillé


    7. -  Ancêtre commun entre Auguste Bartholdi et Philip Mountbatten, duc d'Edimbourg, époux de la Reine du Royaume-Uni Elisabeth II

    Le 9 avril 2021, le décès du prince consort Philip Mountbatten, duc d'Edimbourg, né Philippe de Grèce et Danemark en 1921, a provoqué divers articles dans des journaux alsaciens sur ses origines alsaciennes, notamment à Sessenheim, mais aucun n'a évoqué celle avec Auguste Bartholdi.

    Ce cousinage avait pourtant été publié en 2014 dans l'article intitulé Les ascendances du célèbre sculpteur colmarien Auguste Bartholdi. Nouveaux eCrits scientifiques, NeCs_01-2014. go et la note 4 mentionnait :
    "Johann Caspar Boell (~1643-1711) est l’oncle de Johann Peter Boell (°1664), fils de Hans Jacob Boell (1632-1687) et de Maria Catharina Apffel (1640-1705), dont la fille Maria Magdalena Boell (1698-1753) et son époux Johannes Schweppenhauser sont des ascendants des nobles von Battenberg, alliés aux différentes couronnes d’Europe (Brauer, 1983). L’une des branches s’est nommée Mounbatten (dont le Prince Philip époux d’Elizabeth II)".


     

     

     

    Notre cousinage avec Auguste Bartholdi entraîne une relation par alliance avec la cour royale...un clin d'œil !

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